Let's have fun ... Nono&Cassey

Une petite soirée entre filles comme je les aiment. Ce soir j'ai invité Noeleen chez moi pour se regarder un petit film. Je me prépare rapidement, j'enfile une tenue simple et élégante parce que ce n'est tout de même pas une soirée pyjama. J'attrape deux trois DVD dans mon étagère que je dépose sur une table. Je suis fin prête à l’accueillir. La sonnerie retentit, j'ouvre ma porte et sur le palier se trouve Nono, je lui fais la bise et un large sourire. La dernière fois que je l'ai vu on a couché ensemble mais nous étions bourrées et je suis sûre qu'elle à complètement oublié. C'est derrière nous maintenant. Je lui attrape la main et lui fait visiter mon appartement.

-Voilà bienvenue chez moi !

Je la fait s'installer dans le canapé, je lui enlève son sac et son manteau que je dépose dans ma chambre. Je sors différents alcools et deux verres.

-Je te sers quelque chose ?

J'attrape les DVDs et les lui montrent :

-Le quel te dis le plus ? Il ya a de tout là-bas (dis-je en lui montrant ma chambre), horreur, comédie dramatique, comédie drôle... Il ya pour tous les goûts.

Aujourd'hui, tu étais de bonne humeur. Après tout, ce n'est pas toujours que tu as envie d'enfoncer ton poing dans la face d'une blondasse siliconée. Vers vingt-heures, tu avais enfiler un short, qui t'arrive en dessous des fesses, avec une chemise blanche, par dessus un t-shirt gris, avec une paire de bottes, en cuir, à demi-lacées. Après une seconde d'hésitation, ta main entra en contact avec la porte de la maison, de Casey. Tu ne sais plus trop comment tu l'as rencontrée, mais une chose est sûre, tu as couché avec elle. Elle était bourrée, toi non. Depuis, il y a toujours une putain d'attirance qui déchire votre lien, et tu espères juste qu'elle à oubliée cette soirée. Tu entras dans sa maison, lui faisant la bise, te retenant de ne pas la prendre dans tes bras, ça serait un peu étrange... Film d'horreur ! répondis-tu en souriant à la jeune brune, sans hésiter une seconde.

Elle me réponds qu'elle souhaite regarder un film d'horreur, elle à l'air tellement heureuse que je n'ose pas la contrarier en lui rendant une réponse négative, parce que moi et les films d'horreurs on ne s'aiment pas trop trop. Je prends la pochette du DVD et la met dans le lecteur. Je retourne en cuisine, rempli un saladier de chips et un autre de pop corn. Je les ramènent et les pose sur la table basse qui nous séparent de la télé. Je vas dans ma chambre et rapporte une couverture pour nous deux. Je penses que là on est prête pour une séance de cinéma de malade. Je pose la couverture sur moi puis regarde Noeleen:Tu veux un bout de ma couverture ?Je lui fait un clin d’œil et presse le bouton play de la télécommande, le film débute et un monstre apparaît, je tente de contenir mes petits cris mais c'est dur. Mon premier cri raisonne dans toute la piéce et je sursaute en même temps, je la sens mal cette séance cinéma entre filles.

Tu acquiesces à la question de la brune, te blottissant sous la couverture, ta tête reposant sur son épaule. Tu pris une chips, que tu avalas en la mâchant très peu. Ton regard se posa discrètement sur le visage, de la brune, un léger sourire sur tes lèvres. Il était clair, qu'une attirance était présente, mais tu ne savais pas du tout, si elle était réciproque ou non, mais tu espérais, comme à ton habitude. Le dicton 'l'espoir fait vivre' était un bon résumé de ta vie, quand on regarde la chose de plus près. Tu allais tout gâcher tu le savais, mais l'envie se faisait trop irrésistible. Doucement tu approchas ton visage de celui de la brune, posant délicatement tes lèvres sur les siennes.

Noeleen se glisse sous la couverture avec moi. Pendant que je suis obnubilé par le film, je sens ses yeux faire des allez retours entre la télé et mon visage. Faut dire que je ne suis pas très à l'aise. Je ne sais pas trop ce qui lui arrive, c'est sûrement que le film ne l'intéresse pas.
Puis elle avança son visage vers moi, je tournais la tête vers elle puis elle déposa ses lèvres sur les miennes. Le baiser dura quelques secondes ce qui signifie qu'elle l'a fait exprès. Un frisson parcouru mon corps je me sentit bizarre, j'avais presque l'impression que c'était normal. Mais mon naturel repris le dessus et je me décala, je la fixa longuement, j'avais presque envie de continuer à l'embrasser. Elle n'avait sûrement pas oublié cette soirée très arrosée, je ne préférais même pas lui en toucher un mot. Tu .. avais déjà essayé avec une fille ? Quelle question débile, de toute façon quand je suis en état de semi choc je devient rapidement conne et je dis des âneries pas possible. Enfin laisse tomber, et oublie ce qu'on vient de faire.. Je ne sais pas ce qui m'a pris de la laisser m'embrasser, d'habitude je suis attirée par les garçons. Brrr.. c'est très étrange tout ça. Je me tourna de nouveau vers la télé, puis je glissa ma main sous la couverture, inconsciemment je cherchais celle de Noeleen, une fois que doigts se frôlaient je me sentit soudainement légère et bien.

Tu la fixes longuement avant de répondre à sa question. Non, tu as été ma... première fois avec une fille... dis-tu en te mordillant la lèvre, te triturant tes doigts longs et fins. Un léger soupir s'échappa de ta gorge, lorsqu'elle prononça la deuxième phrase, qui te brûla la gorge, comme un fer brûlant. Ta main tremblait légèrement, autant celle sur la couverture, que celle en dessous de cette dernière. Ses doigts effleurèrent les tiens, et tu serras sa main dans la tienne, t'y accrochant comme si c'était une bouée de sauvetage. Tu n'aurais jamais du faire ce que tu avais fait, et pourtant, tu l'avais fait...

La question, que tu ne voulais pas entendre, venait de franchir ses lèvres, et tu te mordillais la lèvre inférieure. Tu sais, qu'elle n'aimerait pas savoir le fait que tu étais sobre, et elle saoule, se laissant faire à ma guise. Tu te souviens de tout, la couleur de ses vêtements, ce que vous avez fait, après, pendant l'acte, et avant... Oui... dis-tu pour répondre à sa question, te mordant la lèvre. Tu posas ta tête sur ton épaule, comme il y a quelques minutes, portant sa main à ta bouche, que tu embrassas avec passion, avant de caler correctement ta tête sur l'épaule de la brune.

Ses bras entourèrent ton épaule, ce qui te valu un sourire de bonheur. Tu aimais le moment que vous passiez ensemble, surtout les cris d'effrois devant le film que vous regardiez, poussé par la jolie brune. Tu veux que je te le dise maintenant ? dis-tu en souriant, rigolant doucement. Le cri d'effroi de la demoiselle, te valu un sursaut, parce que tu ne t'attendais pas à ce qu'elle aie peur, logiquement c'est logique, puisque tu ne regardes pas la télévision, qui est en marche, tu es bien trop occupée à contemplée la table basse, dans un élan d'absence. Tes mains s’aplatirent sur le coussin, que tu venais de saisir, le serrant contre ta poitrine.

Indiscret ? Elle était là, c'est même avec elle que tu l'as fait, alors pour être indiscret, ça ne l'est pas. T'étais là, alors au pire... Et oui, j'ai adoré. dis-tu un sourire en coin, glissant un regard provoquant à la brune. Tu la vis se mettre en sous-vêtements ce qui te fis sourire, et tu en fis autant, parce que c'est vrai, que tu mourrais de chaud, également. Tu posas tes bottes, t'asseyant en tailleur face à l'hôtesse de maison. Je te laisse commencer ! dis-tu en lui souriant, de tes dents blanches.

Tu te mordillas discrètement la lèvre, pendant sa 'déclaration', pendant laquelle elle n'avait buté sur aucun mot, tu préférais, ne rien savoir. Sur son choix, tu enlevas les bretelles de ton soutif', les rentrant dans ce dernier, pour plus d'aisance. Tu lui adressas un sourire, joueur. Fait moi des trucs, plus drôles ! dis-tu en te plaignant presque, de ce que tu avais eu à faire. Chiche, d'aller demander, du poivre au voisin, les seins à l'air ? dis-tu en rigolant, te servant un autre verre, que tu bus d'une traite. Tu avais l'impression, que tu allais encore sauter sur la demoiselle. Tu enchaînais les verres, dès qu'il était fini, tu le remplissais, alors à force, tu avais bu à la bouteille. Complètement ivre, tu te tournas vers la brune, qui te regardait avec un regard moqueur. Tu ne savais pas vraiment ce que tu faisais, mais tant que c'était elle... D'un coup, tu t'allongeas sur la texane, déposant tes lèvres dans son cou, descendant peu à peu, plus bas.