pseudo pink floyd. prénom juliette. âge quinze ans. où as-tu connu BAP ? bazzart. :otarie: ton avis ça déchire. grave. autre chose vous puez tous le putois. nan, j'rigole, l'ambiance a l'air cool ici.
me, myself and i
nom t'es pas une personne quelconque, thompson, y a que les idiots qui ignorent l'existence de ton nom, tous le monde le connait ce nom, tous le monde a ce nom sur ses lèvres, tous le monde parce que c'est ton nom. prénom sidney, tu portes le nom d'une capitale. t'as toujours trouvé ça plutôt flatteur, quoique légèrement prétentieux, alors tu préfères qu'on t'appelle sid. âge dix-neuf ans que t'es en vie, dix-neuf ans de conneries, dix-neuf ans. date et lieu de naissance t'as vu le jour, tes poumons ce sont gonflés pour la première fois un sept décembre, à cleveland, dans l'ohio. origines américaine, du moins à ta connaissance. nationalité de même. situation franchement, regarde toi. t'as pas une gueule à aimer toi, toi t'as été faite pour détruire, pas pour donner de l'amour. orientation sexuelle hétérosexuelle, mais avec un peu d'alcool tu n'aurais rien contre quelques expériences avec le même sexe. confréries souhaitées omega pi kappa, ou delta phi upsilon. année deuxième année. études art, tu t'intéresses à la photographie. avatar kate harrison. crédits uc.
more about your character
sidney "sid" thompson + un mètre soixante-seize + mystérieuse et énigmatique, peu de personnes connaissent son passé, qui elle est véritablement + généralement vulgaire dans ses propos + franche + directe, quand elle pense ou veut quelque chose, elle ne tourne pas autour du pot avant de le signaler + drôle + sensible et fragile, même si elle se cache derrière une carapace arrogante et sans peurs, au fond c'est juste une gosse effrayée par la vie + intelligente, mais ne bosse pas en cours, ou plutôt sèche les cours à longueur de temps + contrairement aux apparences, elle évite la drogue même si elle en consomme à l'occasion évidemment + tombe rapidement dans l'excès de cigarettes + indécise, elle a du mal à prendre des décisions, et fuit toutes sortes de responsabilités + elle veut à tout prix maîtriser ses sentiments, ses émotions, de peur de passer pour une faible + méfiante, elle accorde difficilement sa confiance + triste, chez elle c'est quelque chose de constant, elle ressent cette sensation de vide en elle, encore une fois à cause de tous ses sentiments et émotions qui la tiraillent, mais qu'elle cache soigneusement au plus profond de son coeur + effrayée par ce que la vie lui réserve + au premier abord, elle semble discrète, voir même renfermée sur elle-même, elle ressemble à un ange, qui pourtant cache en réalité un véritable démon + fan de photographie, elle se promène rarement sans son appareil + souffre de son passé, elle a dû mal à s'autoriser à être heureuse, depuis ce qu'elle a traversé + elle ne croit pas en l'amour et n'est d'ailleurs jamais tombé amoureuse + vive d'esprit + on peut la qualifier de personne "spéciale".
groupe
omega pi kappa y a des gens qui te qualifie de rebelle, de fille qui respecte jamais les règles, parce que les règles elle les emmerde. t'es pas au dessus tout, mais t'aime pas, voir même t'as horreur qu'on te dicte qui tu dois être, t'es pas un putain de clébard, merde. t'es une fêtarde, tu profites de ta vie à fond, parce que tu sais bien que t'en auras qu'une, y a pas de deuxième chance. et puis t'as déjà ta réputation, les gens s'écartent quand tu passes, sûrement parce qu'ils te craignent, et qu'ils sont clairement des couilles molles. delta phi upsilon t'es un peu étrange, un peu spéciale, le genre de fille énigmatique que personne n'arrive à cerner. mais au fond t'es plutôt drôle, t'aimes bien la photographie, c'est ta passion. t'es une sensible, mais tous le monde l'ignore, pourtant t'es comme un chocolat, l'extérieur ferme, le coeur fondant. après t'es peut-être trop feignante, trop blasée pour organiser tous les événements, pourquoi perdre son temps quand d'autres peuvent s'en charger ?
Dernière édition par Sidney "Sid" Thompson le Sam 26 Juil - 9:26, édité 9 fois
Tu es trop belle pour être gentille. C’est pourquoi tu détruit tout ce que tu touches.
Sidney. La sage, la jolie, l'adorable petite Sidney. T'as toujours été la fierté de tes parents. Leur unique fierté. Ouais, parce que toi t'as toujours vécu ta vie en solitaire, ni frères, ni sœurs avec lesquelles te chamailler. À leurs yeux, t'étais la fille parfaite, celle que chaque parents rêvent d'avoir. Souriante et intelligente, t'as toujours eu des notes plutôt bonnes à l'école, sans vraiment travailler pourtant, t'avais déjà des capacités, tu l'a toujours su. Ton destin était approximativement tracé. T'allais sûrement devenir mère de deux ou trois gosses, parce que tu voulais pas qu'ils vivent ce que t'as vécu en tant que fille unique, t'aurais un beau mari, et un chien qui jouerait à la balle, une vie sans histoire. Et puis au plus grand bonheur de tes parents, tu reprendrais l'entreprise familiale, probablement en devenant banquière. Ouais, mais toi, le problème c'est que la comptabilité, les nombres, ça ne t'a jamais passionné. Toi ton truc c'est l'art, plus particulièrement la photographie. Tu te souviens encore de la première fois où ta mère t'avait offert ton premier appareil photo, t'étais tellement fière ce jour-là. T'as jamais osé leur dire que t'aimerais faire de la photo ton métier, parce que tu voyais bien dans leur gestes, leurs paroles, et surtout dans leurs yeux qu'ils comptaient sur toi, pour l'entreprise familiale. Alors tu te taisais, et puis tes rêves tu les enfermais à double tour dans ton placard imaginaire.
⊹⊹
T'aimes pas les statistiques, les pourcentages, ça te donne des nausées. Pourtant t'avais bien envie de regarder le nombre de personnes qui décèdent dans des accidents de la route, le jour où l'on t'a annoncé que tes parents étaient devenu de simples chiffres, un simple pourcentage. C'est con, parce que ce jour-là, ils t'avaient dit qu'ils en auraient pour une heure tout au plus, ils avaient oublié d'acheter des tomates et du fromage pour le repas du midi. Finalement, ils sont jamais revenu. Ça t'as toujours perturbé, de te dire que t'avais même pas pu leur dire au revoir. Ils sont simplement... parti. Tu te souviens encore qu'en fin de journée, ils étaient toujours pas rentré, et tu commençais sincèrement à t’inquiéter. Et puis il y a eu cet appel. T'as d'abord cru que c'était eux, que t'allais décrocher, et que t'entendrais la voix de ta mère, un peu stressée de t'avoir laissé seule aussi longtemps, qui s'excuserait, te prévenant que la circulation était mauvaise et qu'ils rentrerait dans peu de temps, derrière ton père hurlerait contre un vieux pas habile du volant, et puis t'attendrais ensuite sagement leur retour. Mais le truc, c'est que lorsque t'as décroché l'appareil, t'as pas reconnu la voix à l'autre bout du fil. C'était une voix stressée, ou peut-être lassée, de femme, mais pas celle de génitrice. Elle semblait avoir préparer son discours depuis des heures. Tu te souviens juste d'avoir entendu quelques mots. Parents, morts, accident, la voiture a percuté un camion, condoléances. T'avais la gorge sèche, sans un mot, t'as raccroché.
⊹⊹
La mort frappe vraiment n'importe quand. C'est sûrement cliché de dire ça, et Dieu sait ce que tu as horreur des clichés, mais c'est pourtant la réalité. Tes parents ne s'attendaient sûrement pas à ce qu'ils quittent le monde des vivants si tôt. Ils n'avaient pas encore rédigé leur testament. Plutôt étrange, pour des gens prévoyants. La loi a donc fait son boulot, et t'as hérité de leurs économies. T'avais seulement quatorze ans, quand ils sont parti. T'étais encore trop jeune pour affronter la vie seule, alors les autorités t'on confié à ton oncle, le frère de ton père. Tu l'a jamais aimé, cet homme. Ton père était sans arrêt en conflit avec lui, c'est sûrement pour cette raison que tu ne l'a vu que très peu de fois. Il t'as toujours effrayé, et voilà que tu étais contrainte de le supporter chaque jours, chaque heures, chaque minutes, chaque instants de ton existence. T'as vécu un an chez lui. Et c'est sûrement un des pires souvenirs de ta pauvre vie. Il avait ce regard sale qu'il promenait sur toi, ses mains baladeuses que tu repoussais à chaque avance... Il te disait que tu étais belle, que tu devenais une femme, et qu'il était tant de le montrer. Tu le détestais. Il utilisait l'argent dont tu avais hérité pour s'acheter alcool sur alcool. Il avait toujours eu des problèmes de ce côté là. T'avais un jour entendu ton père dire qu'il était même allé dans un de ces centres pour se débarrasser de cette addiction à l'alcool. Apparemment il avait replongé tête la première. Alors pour t'échapper de ce cauchemar, tu traînais dehors avec tes nouveaux compagnons de malheur, trop occupée à te détruire. Chaque soir tu sortais, chaque soir tu buvais, t'avalais des trucs illégaux, juste comme ça. Juste pour oublier, même si à ton réveil rien n'irait mieux, c'était devenu une sorte de cercle vicieux. Et puis un soir, t'es parti définitivement, en emportant un peu d'argent, les cendres de tes parents, que t'avais jamais osé répandre, de peur qu'ils te quittent définitivement probablement, et puis quelques vêtements. Ton sac posé une de tes frêles épaules, t'as marché longtemps sur le bord de la route. Tu te souviens que la nuit était froide, que les phares tes voitures te t'aveuglaient et te forçaient à plisser les yeux et puis aussi que ton être tout entier tremblait, de peur, de froid. Mais t'avançais. T'avançais pour oublier. T'as fait quelques stop. Finalement, sans vraiment savoir comment, t'es arrivé dans une petite ville, plutôt lugubre. Le genre de ville aux ruelles sombres, le genre de ville aux mauvaises fréquentations, le genre de ville pour toi.
⊹⊹
Six mois que tu ères tel une âme tourmentée. Six mois que tu dors à la belle étoile. Quand t'étais gosse, plus jeune que tu ne l'es aujourd'hui en tout cas, tes parents et toi avaient dormi à la belle étoile. C'est probablement un des meilleurs moments de ta vie. Mais aujourd'hui, quand tu t'endors sous ta couverture trouée et tes cartons déchiquetés, t'as beau essayer de ressentir la même chose en fixant les étoiles, tu ressens... tu ne ressens rien tout compte fait. T'es devenu vide, une simple coquille sans âme, tassée et recroquevillée par tout le poids du monde. Ton visage pâle, tes lèvres gercées, tes côtes saillantes, t'es maintenant réduite à l'état d'un cadavre, t'es laide maintenant, t'as même peur de ton propre reflet, alors t'évite les miroirs. Ton estomac crie famine, mais tu te contentes de l'ignorer. Y a des jours où tu parviens à voler un fruit sur l'étal d'un marchand, d'autres où tu trouves des restes, et puis les pires où tu bouffes rien. Le jour t'essayes de vendre des journaux. Mais au final, tu te dis que ne pas en vendre reviendrait sûrement à la même chose, puisque très peu de personnes sont intéressés. Tout le monde t'évite, et quand t'es assise par terre, emmitouflée dans ton pull deux fois trop grand pour ta maigre silhouette, tu vois bien leurs regards, aux autres. De la pitié, du dégoût, de l'ignorance, tout défile dans leurs yeux vitreux. Et puis un jour t'en a marre. Marre de crever de faim, marre d'attendre que la mort t'emporte, t'es blasée par la vie, plus rien ne peut t'atteindre, parce que t'as sûrement tout vécu. Alors un soir, t'avances dans la ruelle que t'as toujours évité jusqu'à maintenant. Elles recrutent toujours t'avait-on dit. D'abord tu vois juste une ruelle pouilleuse et délabrée, puis sortant de l'ombre, une femme s'avance vers toi. Elle est plutôt mince. Son collant déchiré, son mini-short noir, et son débardeur rose flashy mettant sa forte poitrine en valeur te font comprendre que tu es bien au bon endroit. Elle te détaille rapidement, t'adresse un sourire aussi faux que les parures qui l'habille, et te lance d'une voix criarde, insupportable à tes oreilles : "Salut mon chou. Tu cherches un peu de réconfort pour la nuit ? Dix dollars l'heure, quarante la nuit ma jolie." Tu frissonnes, d'abord intimidée par ce qu'elle dégage. Son visage semble figé dans le temps, avec toute cette peinture qui lui sert de maquillage. Puis te reprends, hausse un sourcil, et croise les bras, l'air déterminé : " Je cherche un boulot. " Elle paraît d'abord surprise, et hausse les épaules : "T'as quel âge mon lapinou ? T'es pas un peu jeune pour jouer à la pute ? Oh et puis de toute façon mon minou, je t'empêche de rien, on a besoin de personnel. J'm'appelle Daisy. J'vais t'apprendre quelques trucs sur le métier mon chou." T'as passé une semaine à t'entraîner, sans vraiment pratiquer. Adieu ton pull large cachant tes formes quasiment inexistantes, bonjour le corset à lacets, et les bas troués, bref, tu préférais nommer cette tenue provocatrice, et horriblement vulgaire pour une gosse de seize ans, ton uniforme, comme un ouvrier porterait un casque et une salopette, toi t'avais ton attirail de femme public, de pute, de traînée, peu importe le nom que l'on pouvait attribuer à cette profession, t'étais pas fière.
⊹⊹
T'es stressée. Ce soir c'est ta première. Daisy t'a filé un de ses manteaux en fourrures, elle t'as dit que ça te rendrait plus attrayante. Te voilà à nouveau sur un bord de route, cette fois tu fuis pas, t'attends juste ton destin. Quel putain de destin, y a pas un jour où tu ne cesses de te demander ce que t'as fait pour mériter ça. Peut-être bien que t'as descendu des gens, dans une autre vie, ou une connerie chrétienne de ce genre. La vie est vraiment une chienne. Tu frissonnes, il fait toujours aussi si froid, malgré ta fausse fourrure, probablement l'imitation de celle d'une panthère. T'attends bien une heure dans ce froid glacial. Et puis tu la vois arriver. Une porche noir, dont les phares t'aveuglent immédiatement. Le conducteur s'arrête près de toi, t'hésites un instant. Tu pourrais encore fuir, t'as le temps. Mais tu repenses à l'argent qu'il te donnera, t'as pas envie de dormir sur un banc public cette nuit. Alors tu t'avances bravement, et te baisse à la hauteur de l'homme. Il fait sombre, t'y vois pas clair. Tu lui propose une nuit de réconfort, comme l'avais fait Daisy à ton arrivé, t'expose professionnellement tes tarifs, et puis te grimpe dans sa bagnole, qui t'emmène loin. Tu marches derrière lui, dans le couloir de l'hôtel. Tu ne cesses de regarder autour de toi, t'avais pas vu un aussi beau décor depuis longtemps. Dans la chambre, il fait chaud. Tu te dis que ça pourrait sûrement être agréable, mais tu ne parviens pas à te détendre. Les spots t'éblouissent, la pièce t’oppresse, la chaleur t'étouffe. Il s'approche alors doucement de toi, et dépose un baiser sur ta nuque. Tu frissonnes de tout ton corps, un frisson de dégoût. Il pourrait presque être ton grand-père, ce mec. Et puis il a ce regard qu'il pose sur toi... Le même que celui de ton oncle. Ce regard sale. T'as beau te répéter d'être forte, que pleurer c'est pour les faibles, t'y parviens pas. Sans un mot, tu te précipite hors de la chambre, hors de l'hôtel, hors de cette ville. Tu te retrouves dans une rue marchande. T'en a assez. Tu sors de ton sac ton pull trop large, et l'enfile pour cacher le peu de tissus dont tu es revêtu. Tu te recroquevilles sur toi même, comme le ferait un enfant. Après tout t'es encore une gosse. Les larmes roulent sur tes joues pâles, t'es fatiguée. Fatiguée d'affronter ta vie. "Eh... Euh.. Salut. T'as pas l'air d'aller bien, enfin... non, je sais c'est con, tu vas sûrement pas bien si tu pleures, désolée, j'suis con. Nan, enfin, j'suis pas totalement con non plus, c'est... ouais nan merde, je m'enfonce. Bref, moi c'est Dylan." Tu relèves la tête. T'imagines pas l'état dans lequel tu dois être, avec tes cheveux en bordel, et ton maquillage qui dégouline comme un torrent. T'as presque envie de lui sourire, à ce Dylan. Mais tu t'en veux trop qu'il t'ai surpris ici, à pleurer, qu'il t'ai surpris dans ton moment de faiblesse. Tu le fixe un long moment. T'es hypnotisé. Il ressemble à un soleil. Non, il n'illumine pas la nuit car non, il n'ai pas encore doté de la capacité qui leur permettrait de devenir phosphorescent. Mais il rayonne, c'est un gars qui semble dégouliner de joie de vivre. Tout le contraire de toi. "Sidney. Mais appelle moi simplement Sid." Il te sourit, et s'assoit à tes côtés. T'es étonnée. Pas parce qu'il prend place près de toi, et encore tu pourrais l'être, mais parce que son regard est différent de tout ce que t'as croisé auparavant. Dans ses yeux y a ni pitié, ni dégoût, juste de la sympathie : "Sidney... C'est cool comme prénom. Viens avec moi Sid, j'vais t'emmener ailleurs, ici ça craint, j'voudrais pas qu'un vilain te kidnappe. J'suis ton nouveau chevalier servant en quelque sorte ! Eh, bordel, ça sonne plutôt bien! Bref, j'me calme. Si ça te dit, je t'héberge, et tu pourras me raconter pourquoi t'étais ici seule en pleine nuit, mais j'te force pas hein, tu fais comme tu le sens. Bref, je sais qu'on se connaît depuis seulement cinq minutes, mais fait moi confiance, O.K ?" Il se relève, et te tend la main. T'hésites un moment, et puis finalement tu te dis que c'est peut-être ta chance, ta clé vers la lumière, une chance de faire un joli fuck au destin. Alors t'attrapes sa main, et à ce moment, tu comprends que t'as plus jamais envie de la lâcher.
⊹⊹
Des murmures. Les gens s'écartent sur ton passage. C'est elle. Avec ton short, et ton sweats toujours deux fois trop grand, t'as pas l'air si fragile aujourd'hui. T'avance dans le couloir, la tête haute, les yeux braqués devant toi. T'ignore toutes les remarques, les regards insistants sur ta personne, t'avance simplement. Maintenant t'a dix-neuf ans, et t'a pris ta revanche sur la vie. Va te faire foutre le destin, c'est ce que t'arrêtes pas de te répéter à chaque moment un peu dur. Va te faire foutre, laisse-moi vivre. Acceptée à l'université, payé par tes moyens et ceux de Phil, le père de Dylan. T'habite d'ailleurs en colocation avec lui depuis qu'il t'a trouvé. Il est le seul qui est au courant de ce que t'as été dans le passé, de ce que t'as traversé. Avec lui t'es différente. Tu te caches moins, t'enlève ton armure de glace, qui te sert à protéger tes putains de sentiments. T'as promis, la nuit où il t'a trouvé, que jamais plus il ne te verrait pleurer. Personne ne te verrait pleurer désormais. T'es pas une faible, pleurer c'est pour les couilles molles. Le problème c'est qu'à jouer la rebelle, la fille sans peur, tu t'éloignes de ce que tu es. T'es trop occupée à te détruire pour faire attention à toi. T'as beau paraître calme à l'extérieur, à l'intérieur, tu meurs. Tu crèves, derrière ton masque tes sentiments te réduisent encore une fois à l'état d'une coquille vide. Et pourtant tu continues à te détruire, de jour en jour tu disparais.
Dernière édition par Sidney "Sid" Thompson le Dim 27 Juil - 12:46, édité 23 fois
• • •
Soya K. Deakin
FONDA ♔ TAINTED LOVE
DATE D'INSCRIPTION : 09/07/2014
MESSAGES : 853
POINTS : 1012
AVATAR : shelley hennig
CREDIT : Ruthless.
ÂGE : 23 ans
ÉTUDES : sciences (astronomie)
ANNÉE D'ÉTUDE : 5ème année
PSEUDO / PRÉNOM : VENDETTA.
RP : J'suis libre!
CÔTÉ COEUR : célibataire
moi aussi j'veux laisser ma trace alors, parce qu'on est télépathe et qu'on dit toujours les mêmes choses au même moment. et parce qu'on forme une bonne équipe. #JU
moi aussi j'veux laisser ma trace alors, parce qu'on est télépathe et qu'on dit toujours les mêmes choses au même moment. et parce qu'on forme une bonne équipe. #JU
After we go to the bathroom, can we go smoke a cigarette? I really need one. But first, let me take a selfie
mes liens
j'ai une cousine, affreuse. elle s'appelle BRITTANY. on ne s'aime pas du tout et ce n'est pas prêt de changer. puis il y a MATTHEW, mon meilleur ami. je suis bien avec lui, il embellit un peu ma vie. c'est mon âme-soeur, et je l'aime beaucoup. avec OLYMPE, nous sommes les cupidons de l'Ohio, on adore mettre les gens en couple.
juste parce que je voulais laisser ma trace que t'es géniale, et que faut pas m'en vouloir pour ton rang, j'ai mis ça au feeling j'espère que t'aimes #CLA.
as long as i am with you, my heart continues to beat ○
i remember. of everything. of our story, of these shared moments. i remember that was you and me. you and i against the world. you and i against the whole world.
était couple avec Bailey Oaks depuis le 20 février 2014 mais elle l'a larguée parce qu'il s'est fait sa cousine ≈ cousine d'Hazel Forbes, de Micah Forbes et de Jonah Forbes avec qui il vit (même si actuellement elle est retournée chez les gammas) ≈ amie proche de Nathan Miller qu'elle essaye désespérément de rendre populaire ayant bien remarqué qu'il avait un crush réciproque sur sa cousine ≈ Caïtlyn Ainsworth est sa meilleure amie depuis un sacré bout de temps, elles ont pris l'habitude d'être plus proches que de simples amies mais depuis que Fleur est en couple, elles ont arrêté tout ça même s'il se peut que la blonde recraque rapidement ≈ Jacob Hudson est son meilleur ami depuis qu'elle est arrivée à l'université de Columbus, même si au début c'était pas trop ça, ils ont une relation particulière étant jaloux des conquêtes de l'autre, Fleur n'aime pas le côté solitaire de Jake non plus mais ils restent inséparables, c'est sa barbie ≈ Maxence Lawster est un bon ami qui la fait rire et est toujours là pour lui remonter le moral quand ça ne va pas, il y a toujours eu cette espèce d'attirance non avouée entre eux
ÉTUDES : La littérature m'inspire ... L'écriture aussi ... En fait l'art en général
ANNÉE D'ÉTUDE : 1ère année
PSEUDO / PRÉNOM : Garance/ little Muffin
RP : J'suis libre!
CÔTÉ COEUR : célibataire
Là où j'étais le plus heureuse, c'était quand il venait juste s'allonger à côté de moi et que je sentais presque le poids de son corps contre le mien. Sa présence faisait taire ne serait-ce que quelques secondes le crépitement de l'angoisse qui faisait grincer mon sang contre mes os et l'espace d'un instant je me sentais fondre, comme si j'étais toute molle. #Howilivenow
CREDIT : Avatar: .liloo-59 / Signature:.bizzle et icons : gentle heart/ fiche de lien: SUKALI&TI
ÂGE : Premier jour de ses 22 ans.
ÉTUDES : Sport: Lacrosse
ANNÉE D'ÉTUDE : 3éme année
PSEUDO / PRÉNOM : Casy
RP : J'suis libre!
CÔTÉ COEUR : célibataire
MES AMIS
Hazel, on est dans la même équipe de Lacrosse féminine avec Shannelet nous formons une sacrée équipe. D'ailleurs, Shannel est la petite amie cachée de Ethan ce dernier étant mon meilleur ami qui me confie tous ces traquas malgré le fait que je ne cesse de le taquiner. Leonardo ou celui qui m'a sauvé un soir est devenu un très bon ami qui à tendance à me surprotéger ce qui par moment m'embête au plus haut point.
MES AMOURS
Je ne sais pas s'il compte vraiment étant donné que c'est un ex, mais Warren reste quelqu'un que j'aime beaucoup avec qui je "m'amuse" bien et il est vrai que son charme me fait parfois craquer et nous finissons dans le même lit. Dans un autre genre il y a Jacob pour qui j'ai de vrais sentiments depuis un moment mais il était trop obnubilé par une autre file déjà en couple .. triangle amoureux en quelques sortes.
MES EMMERDES
Siam,on était de très bonnes amies, mais quand j'ai appris que tu fréquenter mon ex pour qui j'avais encore des sentiments et que en plus de ça tu m'a manipuler afin que je le déteste... la guerre à été déclarée. Parmi mes exs il y a aussi Spencer , un emmerdeur de première qui m'a trompé avec une pouffiasse et ça a valu notre séparation.
LA FAMILLE
Kaya, c'est ma cousine préférée, toutes les deux on est très proches on s'aiment comme des sœurs. On a presque grandit ensemble.
en fait kate ressemble vachement à taylor marie hill c'est dingue mais elle est tout autant sublime bienvenue parmi nous bon courage pour ta fiche :otarie:
ouais, c'est clair, limite on pourrait croire qu'elles sont sœurs ashley est magnifique aussi merci
• • •
Phoenix J. Rawson
columbusite
DATE D'INSCRIPTION : 24/07/2014
MESSAGES : 91
POINTS : 70
AVATAR : Nicolas Simoes.
CREDIT : Yumita.
ÂGE : 23 ans.
ÉTUDES : Etudiant en musique, plus dans la composition et en langue.
ANNÉE D'ÉTUDE : Cinquième année.
PSEUDO / PRÉNOM : Niny.
RP : J'suis libre!
CÔTÉ COEUR : célibataire
PUT A MOUSTACHE
Phoenix's life:
Grand, brun aux yeux bleu, c'est ce qui caractérise le plus Phoenix. Du moins quand il montre son réel visage. Car si vous le croisez dans les couloirs de l'université, c'est avec un sac à dos, de grosses lunettes noirs obstruant son visage ainsi qu'une coupe de cheveux en bataille. Rien d'attirant n'est-ce pas ? C'est d'ailleurs ce qu'il recherche. Qu'on ne l'emmerde définitivement pas. De nature calme et posé, il aime être seul pour se retrouver et écouter des mélodies qui le transporte dans sa bulle, dans son monde qu'il ne montre à personne. Bien qu'il montre en apparence un jeune adulte négligé et intelo sur les bords, il prend une douche tout les matins sans exception. Un genre de rituel qui lui permet de bien se réveiller le matin. Il ne mange pas le matin, il tiens très bien sans jusqu'au déjeuné. Il adore la boxe et la natation qu'il pratique régulièrement pour garder le corps qu'il à construit ainsi que pour se défouler. Il sait donc se servir de ses poings, même s'il en a jamais usé. Il déteste les femmes superficiels, ou bien trop dans l'émotion. Soit c'est pot de peinture bonjour, soit c'est des pleurs toutes les minutes. Il est très tolérant, et ouvert. En soirée, Phoenix à tendance à dévoiler son deuxième visage, celui plus soigné, agréable et craquant. En générale personne ne le reconnait, et il s'en amuse. Il peut donc vagué à ses occupations favorites de deuxième plan ; la séduction. Et le lendemain, il repart sur son côté négligé, ainsi il n'est pas emmerdé. Cool, non ? Il ne cherche pas d'âme soeur, puisqu'il n'y croit pas. Ni l'amour pour la même raison. Il s'attache rapidement, et à la rancune tenace. Très têtue, il est parfois insupportable. Il aime les gens entreprenants. Il dors nu, il a toujours chaud. Il est très fière de ce qu'il est particulièrement devenu. Un poil arrogant parfois. Il est en conflit avec sa soeur depuis sa plus tendre enfance. Il chante juste, et danse parfaitement bien. (Merci maman) Il juge rapidement. Il aime dominer toutes les situations, avoir le contrôle sur tout ce qu'il fait. Il possède des marques sur son poignet à cause de sa tentative de suicide quand il était au collège, il déteste en parler. Son rêve est de devenir directeur d'une maison de disque. Il sait jouer du Piano et de la guitare. Il fume. Travaille comme stagiaire chez une maison de disque, Sony BMG Music Entertainment.
EPOUSE MOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOI. Kate, le choix de ouf sérieusement. Bref, bienvenue.
• • • • • • •
J. Warren Cooper
columbusite
DATE D'INSCRIPTION : 25/07/2014
MESSAGES : 368
POINTS : 891
AVATAR : Mariano Di Vaio
CREDIT : -
ÂGE : vingt-quatre ans.
ÉTUDES : en pharmaceutique
ANNÉE D'ÉTUDE : septième année
PSEUDO / PRÉNOM : demons.
RP : J'suis libre!
CÔTÉ COEUR : célibataire
Cette fille, c'est une déesse. La perfection de l'imperfection. Elle me rend fou à lier. Autant de pas son charme que par son entêtement. Elle est tellement chiante, mais mon dieu, c'qu'elle est belle.
CHARLY et WINTER sont tes meilleurs amis. Vous formez un trio d'enfer, un peu complexe et tendu ces derniers temps, surtout entre les deux bêtas, puisque vous vous êtes embrassés en étant ivres. Winter n'est pas encore au courant. D'ailleurs, CALEB c'est ton pote et ton coloc, mais vous vous engueulez souvent à propos de Winter, dont Caleb est amoureux, parce que ce dernier crois que tu vas te la taper et il ne te fait pas confiance. Mais jamais tu ferais ça. RAY est votre autre coloc, il s'interpose souvent entre vous deux pour calmer les choses, mais en même temps, ça le saoule et tu le comprends. NATHAN t'a empêché de te suicider en sautant du pont, y'a un an, et maintenant vous êtes très proches, vous vous soutenez mutuellement pour différentes raisons. NOELEEN et toi êtes de très bons potes. Vous vous amusez bien ensemble en soirée, mais lorsque tu bois trop, elle se met à t'engueuler, car elle aime pas te voir dans cet état où tu deviens fou. ZADIG est une amie, en quelques sortes. Elle a essayé de coucher avec toi et de se rapprocher de toi, mais pour toi, ce n'était rien d'autre qu'une amitié. Elle ne t'attire pas. PHOENIX est un pote de soirée et de beuverie avec qui tu aimes bien passer du temps.
MES EMMERDES
Tu ne pourrais détester personne plus que tu ne détestes BLEL. Ce con d'Omega que t'as vu entre les jambes de Siam à ta soirée caritative, vous vous êtes battus et depuis, c'est une sorte de compétition entre vous. Vous pouvez pas vous blairer, c'est une haine réciproque qui ne prendra pas fin de si tôt.
MES AMOURS ET AUTRES...
Tu t'amuses depuis toujours à faire chier Olive, mais au fond c'est parce que tu l'aimes bien. Et peu à peu, tu commences à éprouver des sentiments pour elle qui deviennent rapidement inévitables. T'as couché avec MAXENCE un soir où vous étiez bourrés, tu es sa première expérience avec un mec. D'ailleurs, il y a une certaine attirance/répugnance avec BAILEY depuis que vous vous êtes embrassés par hasard dans les vestiaires. Tu couchais fréquemment avec SIAM et tu éprouves une certaine jalousie face aux mecs qui lui tournent autour de trop près, mais tu n'en est pas amoureux, c'est juste...bizarre. Mais depuis ta soirée caritative, tu ne lui parles plus vraiment, c'est très tendu. NASH est une ex. Elle a rompu avec toi il y a quelques temps sans te donner aucune raison et depuis, dès que tu la croises, tu essaies de comprendre ses motifs, mais elle te fuit comme la peste, elle ne veut rien t'expliquer. CASEY aussi est une ex, un bref amour qui n'aura pas duré et vous vous êtes retrouvés ici il y peu. Il y a toujours une certaine forte attirance, vous couchez ensemble à l'occasion, mais rien de plus. Du moins, pour toi...
LA FAMILIA
Skyler est ta demi-soeur. Votre relation peut être aussi fragile que solide, mais tu ferais tout pour elle, car sa sensibilité, tu l'as reconnue tout de suite, même si elle le cache. Tu considères ALESSANDRA comme une petite soeur. Elle te fait penser à Lydia, tu es très protecteur envers elle, et puisqu'elle n'a jamais eu une très bonne relation avec son propre frère, alors tu fais tout pour qu'elle se sente aimée. C'est un peu comme avec SEPTEMBER. Tu l'aides durant ses crises de panique, tu es là pour elle et vous vous plaisez souvent à jouer à la console ensemble, c'votre délire, votre détente à tous les deux!
T'es passée sur la box tout à l'heure, et j'te vénère avec ta Harrison T'es canon!
Bon alors... T'es une bombasse, carrément, mais... tu veux pas te faire pousser des couilles un peu, comme ça, tu pourrais venir chez la confrérie des plus beaux dieux grecs mecs de l'université où t'es inscrite Alleeeez, les bêtas, tu pourrais au moins te déguiser en mec quoi, j'sais pas, car ce sont les meilleurs