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BIENTÔT LES 100 MEMBRES! COEURS SUR VOUS je pourrais abandonner mais voilà le problème, j’aime notre arène.  • julan 3281921269
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 je pourrais abandonner mais voilà le problème, j’aime notre arène. • julan

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Jules-A. Mainfields
Jules-A. Mainfields
columbusite
DATE D'INSCRIPTION : 05/08/2014
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AVATAR : bethany mota. ♥
CREDIT : ava @bazz - sign @moi
ÂGE : twenty yo.
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ANNÉE D'ÉTUDE : troisième année.
PSEUDO / PRÉNOM : unbreakable.
RP : J'suis libre!
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Message(#) Sujet: je pourrais abandonner mais voilà le problème, j’aime notre arène. • julan je pourrais abandonner mais voilà le problème, j’aime notre arène.  • julan EmptyMar 12 Aoû - 10:55

je pourrais abandonner. mais voilà le problème, j’aime notre arène.  • julan
Tu ouvres les yeux mais les referme aussi tôt la lumière te brûle les paupières. Tu te caches dans tes couettes comme si tu voulais te protéger de quelque chose ou de quelqu'un. Quelques minutes plus tard, une douleur au bras te prend et devient de plus en plus intense. Putain mais qu'est-ce que j'ai encore foutu ? Tu essaies de te remémorer les épisodes de la veille mais tu as du mal à te concentrer cette douleur au bras est plus forte que tout. Le bar, la drogue, le gars qui te drague et puis ? Tu tapes ta paume contre ton front comme si ça allait t'aider à te souvenir. Stupide fille. Et puis les événements de la veille te reviennent en mémoire. Cette fille blonde et pine-up, toi qui te moques, tu montes sur une poubelle et puis boom. Trou noir après ça. Tu sais même pas comment t'es rentré chez toi mais tu t'es sûrement cassé le bras ou un truc comme ça. Tant bien que mal tu décides de prendre une douche. Tu te brosses les dents et déjeunes. Enfin t'essaies parce que déjeuner après une soirée comme hier c'est plutôt hard surtout après avoir pris autant de drogue et avoir autant bu. Stupide fille. La douleur au bras te relance encore. Tu sais pas quoi faire alors tu vas aux urgences du campus en espérant ne croiser personne. Une fois sur place l'attente est interminable comme toujours. Tu te rappelles la dernière fois que t'es venue c'était pour une entorse au pied. T'es plutôt maladroite comme fille. Tu sens ton téléphone vibre dans ta poche, Caelan. Il t'invite à le retrouver et tu ne peux pas dire non, il t'a manqué, vraiment. La dernière fois que vous vous êtes vus ça a encore dérapé. Vous vous êtes embrassés et ça aurait pu aller bien plus loin si tu n'étais pas partie. Mais t'es pas prête pour ça, toi, tu veux pas que ça dérape. Tu tiens trop à ce que vous avez actuellement et puis t'es pas une fille pour lui, tu ne le mérites pas. J'suis aux urgences viens me rejoindre, t'expliquerai. xoxo Tu reposes ton téléphone dans ta poche et attends qu'il te rejoigne. Plutôt insolite comme endroit pour un rendez-vous mais Caelan a l'habitude avec toi t'es pas une fille comme les autres.
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Message(#) Sujet: Re: je pourrais abandonner mais voilà le problème, j’aime notre arène. • julan je pourrais abandonner mais voilà le problème, j’aime notre arène.  • julan EmptyMar 12 Aoû - 15:44

jules & cælan
after the fall.
Il a les yeux ouverts depuis trop longtemps. À vrai dire, il n'a pas beaucoup dormi. C'était une nuit agitée, mais pas comme certains l'entendent. Pas comme l'imagine peut-être Louison, dans la pièce d'à côté. Ça aurait pu. Il était bien parti pour, en tout cas, dans ce bar. Une musique agressive, une lumière tamisée. Tout ce qu'il fallait pour chopper une fille pour la nuit. Et la quitter au petit matin en même temps que se pointent les premières lueur de l'aube. Mais non. Elle était là. Dans le même bar. Il se cachait, depuis le moment où il l'a vue, comme s'il voulait juste l'espionner. Mais pas se montrer. Juste la voir, la regarder librement danser. Jalousant dès qu'un autre homme l'approchait. Il l'a suivie des yeux quand elle est montée sur cette table. C'est qu'elle danse bien, Jules. Mais il n'a pas vraiment pu profiter du spectacle. L'alcool était bien trop présent dans son sang – l'équilibre était devenu précoce. Il y a eu la chute, les gens qui riaient. Elle riait, elle aussi. Mais pas Cael, qui s'est précipité vers elle. Il l'a emmenée dehors. Il ne sait même pas si elle gardera un souvenir de tout ça, tant elle était alcoolisée. En s'imposant un peu, il l'a raccompagnée jusqu'à chez elle. L'a aidée à ouvrir sa porte, l'a bordée comme on borde une enfant. Il aurait pu. Rester chez elle, l'embrasser, plus encore. Il aurait pu en profiter. Oui, il aurait pu. Mais il a bien trop de respect pour elle. La dernière fois qu'ils s'étaient vus, c'est elle qui avait pris la fuite. Là, on peut dire que c'est comme un peu lui. Il a quitté son appartement dans la nuit noire, redevenue silencieuse. Et il a regagné le sien, seul, sans compagnie nocturne. En vrai, il n'aurait pas pu, tant il pensait à elle. Elle disait avoir mal au bras, sur le chemin, mais il avait décidé de mettre ça sur le coup de l'alcool. C'était sûrement rien. Pourtant, quelques heures après (deux ou trois seulement) il avait les yeux grands ouverts. Par la fenêtre, il sent que le soleil est haut dans le ciel, déjà. Il lui a envoyé un message. Innocent, sans sous-entendre qu'ils s'étaient vus cette nuit. Il veut juste la voir. Veut juste renouer un peu, comme toujours. Son portable vibre, et il grogne. À ses pieds, Cyrano s'éveille en grognant légèrement aussi, comme dérangé. C'est elle, c'est Jules. Ses yeux croisent le mot « hôpital » et ses sens s'alertent. Huit minutes plus tard, il est habillé (à l'arrache), pas coiffé, mais dehors, courant déjà sur le chemin de l'hôpital. Elle se souvient donc que c'est lui qui l'a ramenée ? Ou a-t-elle juste pensé à lui ? (...) Elle est là-bas, assise dans la salle d'attente, de dos. Il la reconnaîtrait entre milles. Il l'a vue grandir. Il a été le premier à lui dire en rougissant qu'elle était jolie. À tenir sa main. À retirer ses vêtements uns à uns. Alors oui, je pense qu'on peut dire qu'il la connait par coeur, depuis le temps. « Jules », souffle-t-il en arrivant près d'elle, ses yeux bleus noyés dans l'inquiétude. « Qu'est-ce qu'il se passe ? C'est ton bras ? » Crétin. Il vient de se trahir tout seul. Comment pourrait-il savoir que c'est son bras ? Il baisse les yeux, voit qu'elle le tient avec l'autre. Il a peut-être une excuse, en fin de compte. Il s'assoit à côté d'elle, et soudainement, voudrait la revoir danser, comme hier soir.
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Message(#) Sujet: Re: je pourrais abandonner mais voilà le problème, j’aime notre arène. • julan je pourrais abandonner mais voilà le problème, j’aime notre arène.  • julan EmptyMer 13 Aoû - 22:35

Tu es assise, là, sur ce banc, dans cette salle d'attente froide et sans vie quand enfin tu croises son regard. Il arrive à ta hauteur et tes yeux se plongent tout de suite dans les siens comme si eux aussi, en avaient besoin. Comme si eux aussi étaient attirés l'un par l'autre. Il semble inquiet et au fond ça te fait plaisir qu'il le soit. D'habitude personne ne s'inquiète pour toi. « Jules » Ces simples mots te font fondre. Cette façon qu'il a de prononcer ton prénom bien à lui te fait fondre. Tout chez lui t'attendris. Tout. Tu gardes ton regard rivé dans le sien, tu ne t'en détaches pas. « Qu'est-ce qu'il se passe ? C'est ton bras ? » Tu fronces les sourcils, comment est-il au courant ? Ah. Peut-être ta tête, t'arrêtes pas de jeter des regards furtifs vers ton bras comme si t'avais peur qu'il soit plus là. Parce que tu sens plus rien, plus rien du tout à part cette douleur atroce qui ne s'arrête pas. Et puis cette façon de tenir ton bras, ça lui a sans doute mis la puce à l'oreille. Peut-être que c'est ça ? Ou peut-être pas. Tu préfères pas le questionner, de toute façon t'es heureuse qu'il soit là, tu veux pas gâcher ce moment. La dernière fois t'es partie sans rien dire et tu t'en sens honteuse, pire que ça même. Il mérite pas tout ça, tu ne le mérites pas Jules. Il vaut mieux que ça, mieux que toi. « Ouais... Je suis tombée hier enfin j'crois. Je me souviens plus de rien même pas d'comment je suis rentrée chez moi. J'ai jamais été dans cet état. » T'es souvent ivre et défoncée, c'est ton quotidien mais jamais au point d'avoir un trou noir comme ça. T'es honteuse d'être comme ça devant Caelan, il doit te prendre pour un déchet, une fille sans intérêt et sans amour propre, tout ça à la fois. Qu'est-ce qu'il fait là d'ailleurs ? Pourquoi il est là alors que la dernière fois tu l'a laissé tomber ? Pourquoi il est si gentil alors que tu n'es qu'une pauvre fille à côté de lui ? Toutes ces questions résonnent dans ta tête. Pourquoi... « Merci d'être là... d'être toujours-là. » Réponds-tu en lui faisant signe de s'installer à tes côtés. Tu poses ta tête sur son épaule et attrapes sa main. T'as toujours eu peur des hôpitaux, des médecins, tout ça. Mais c'est pas pour cette raison que tu as attrapé sa main, t'as besoin de la présence de Caelan, plus que tout. C'est essentiel, vital même si à chaque fois tu fuis. Ou il fuit, peu importe. Il y a toujours quelque chose qui vous éloigne mais toujours quelque chose qui vous ramène l'un à l'autre tels des aimants.
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Message(#) Sujet: Re: je pourrais abandonner mais voilà le problème, j’aime notre arène. • julan je pourrais abandonner mais voilà le problème, j’aime notre arène.  • julan EmptyJeu 14 Aoû - 22:27

Elle plonge son regard dans le sien. Ne le retire pas. Mais à Cael, ça lui va. Il a toujours aimé ses yeux. Deux soleils au milieu de son visage en ciel. En attendant qu'elle réponde, il détaille ses yeux. Son nez, sa bouche, son visage. Ses joues légèrement rosies, ses cils qui papillonnent, la mèche de cheveux qui barre son front en diagonale. « Ouais... Je suis tombée hier enfin j'crois. Je me souviens plus de rien même pas d'comment je suis rentrée chez moi. J'ai jamais été dans cet état. » Elle ne se souvient pas. Quelque part ça le rassure. Quelque part ça le déçoit. Qu'est-ce que t'espérais, Cael ? Qu'elle se souvienne de toi malgré l'alcool ? Non, bien sûr que non. Et c'est peut-être mieux ainsi. « à ce point-là ? » demande-t-il innocemment, alors qu'il a très bien assisté à l'état dont elle parle. Il lui semble que ses joues rougissent légèrement. Il pense à la honte. Est-ce que t'as honte d'avoir été comme ça, Jules ? Spontanément, il porte une main à sa joue; la caresse du revers. « hé, ça arrive de finir comme ça tu sais, c'est pas un truc grave, alors on s'en fiche. » Il lui offre un sourire-Caelan. C'est-à-dire un sourire un peu bancale et maladroit. Un peu enfant et Peter Pan. Un peu joyeux et un peu nostalgique. Un peu tout, un peu rien. Un vrai sourire, pourtant. « Merci d'être là... d'être toujours-là. » En guise de réponse, il s'assoit à ses côtés. La laisse se caler contre lui, savourant la chaleur de son corps contre le sien. Il passe sa main autour de son épaule, et la serre encore plus contre lui. Comme pour lui dire : j'ai toujours été là. Comme pour lui rajouter : je serai toujours là. Elle attrape sa main dans la sienne. Avec ses petits doigts, qui sont glacés. Il l'entoure, les entrelace, et sourit dans le vide, au fantôme de son espérance. « t'as toujours les mains froides. » souffle-t-il à mi-voix, comme une constatation, comme pour lui dire comme avant ou simplement comme la dernière fois ou bien comme toujours. Revêche, il observe les infirmiers passer devant eux. Comme s'ils n'existaient pas. Puis, le norvégien pose ses yeux clairs sur elle, observant ses cheveux qu'il a envie de démêler avec ses doigts comme on ferait avec une poupée. « tu sais au moins avec qui t'es sortie hier quand c'est arrivé ? » demande-t-il, l'air innocent. Au fond, il sait très bien que si c'est un nom masculin qui va sortir, il va être jaloux. Il n'en a pas le droit, il n'y a pas de contrat. Mais c'est comme ça. Timidement, il fait remonter sa main de son épaule à sa tête, pour caresser doucement ses cheveux. Il la revoit danser. Sur la table, comme si rien ne l'arrêterait. Il a soudain envie de l'embrasser.
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Message(#) Sujet: Re: je pourrais abandonner mais voilà le problème, j’aime notre arène. • julan je pourrais abandonner mais voilà le problème, j’aime notre arène.  • julan EmptyJeu 14 Aoû - 23:50

« À ce point-là ? » Oui c'est ça le truc, à ce point-là Jules. C'est peut-être le moment de te calmer, tu sais cette petite sonnette d'alarme qui retentit dans ta tête, tu l'entends ? Non. C'est ça le truc avec toi Jules, tu connais pas le mot "limite" tu t'es jamais mise une seule limite et c'est pas aujourd'hui que ça risque de t'arriver. Tu entends une once de... tu ne sais pas quoi. Un petit truc qui cloche dans sa voix et tu vois ses joues devenir légèrement roses. Tu commences à bien le connaître Caelan et y'à un truc qui cloche mais tu sais pas quoi. Tu tournes ta tête vers lui, posant à nouveau ton regard dans le sien, pour le détailler, aller au plus profond de lui. Il est difficile à percer, difficile à cerner mais tu commences à y voir plus clair. Faut dire, vous passez beaucoup de temps ensemble, peut-être même trop. C'est pas bon pour toi et pas bon pour lui de traîner avec une fille comme toi. « Toi, tu sais quelque chose. » Dis-tu sans vraiment en être certaine. Tu doutes, tu bluffes. C'est ta façon à toi d'essayer de connaître la vérité. Tu sens sa main sur ta joue et instinctivement la tienne se colle à la sienne. Tu savoures ce moment comme si c'était le dernier. C'est toujours comme ça avec Caelan, vous savez jamais quand est-ce que vous allez vous revoir. « Hé, ça arrive de finir comme ça tu sais, c'est pas un truc grave, alors on s'en fiche. » Tu l'admires, beaucoup même. Si t'étais à sa place, t'aurais déjà fuis depuis longtemps. T'es nocive pour toi et pour les autres, t'en es persuadée. C'est pour ça que t'éloignes à chaque fois Caelan même si des fois, il s'éloigne de lui-même. Il a dû comprendre que tu ne lui apporterais rien de bon. « Oui, mais ça devrait pas arriver à ce point-là, j'aurais voulu que tu sois là pour voir ça. » Dis-tu innocemment. Tu n'imagines pas une seconde qu'il aurait pu être là. Ta petite voix intérieure te dis que s'il avait été là tu l'aurais vu parce que vous vous retrouvez toujours, mais peut-être pas cette fois. « T'as toujours les mains froides. » Tu souris parce qu'il a raison. Il te connaît bien plus que n'importe qui. Et puis cet endroit n'arrange pas les choses, tu détestes ça, être à l'hôpital. Tu serres sa main davantage, te blottissant contre lui. « Tu ne t'en plaint pas quand elles se faufilent un peu partout sur ton corps. » Tu dis ça pour le taquiner et puis regrette immédiatement ce que tu as dit. Des images refont surface dans ta tête : Caelan, son torse, tes mains, ses lèvres, t'as vite fait le rapprochement. Mais tu ne peux pas penser à ça, tu te l'interdit. Lorsqu'il reprend la parole, tu en profites pour essayer de changer de sujet, c'est assez ambigu entre vous pour que tu en rajoutes une couche. « Tu sais au moins avec qui t'es sortie hier quand c'est arrivé ? » Tu fais "non" de la tête, t'en as aucune idée. Tu te rappelles bien d'un gars mais... sans plus. « Non c'est ça le pire. J'me rappelle vaguement d'un gars qui me draguait, peut-être même que je l'ai embrassé mais je n'ai passé la nuit avec personne, ça j'en suis sûre. » Et ça te rassure, tu es dégoûtée à l'idée que quelqu'un ait pu profiter de toi alors que tu étais presque inconsciente. Tu caresses sa main du bout des doigts, son contacte te fait tellement de bien. Tu poses à nouveau ton regard dans le sien, ne t'en détachant plus. Tu te mordilles la lèvre, inconsciemment. Peut-être pour éviter que tes lèvres ne se dirigent vers les siennes..
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