(#) Sujet: PANDORA ☠ Everytime I close my eyes, it's like dark paradise Jeu 31 Juil - 16:51
Clélia Pandora Isaure SWAN
ft. Nastassia Lindes
and behind the computer
pseudo ElectricDreams prénom l'étoile scintillante âge 20 piges la fleur de l'âge raiiiiiie /pan/ où as-tu connu BAP ? Bazz ça gère ton avis il m'a l'air prometteur scénario ou personnage inventé PI always autre chose I'M A FUCKING UNICORN AND I DON'T BELIEVE IN HUMANS :otarie:
me, myself and i
nomSwan, simple et court. Efficace. Généralement les gens s'en souviennent, certains s'amusent avec, d'autres lui trouvent une symbolique. Ton ami d'enfance avait l'habitude de te surnommer son "petit cygne". Tu déteste ce surnom et pourtant il te colle à la peau. T'es les deux faces d'une même pièce, y'a le cygne blanc...Et le noir. prénomClélia parce que ta mère était fan du roman de Stendhal "La Chartreuse de Parme" à l'époque où elle était enceinte, alors t'as hérité de ce prénom un peu spécial, puis de son goût évident pour la littérature c'est certain, seule chose qu'elle t'ait laissé en fait. Pandora juste parce que c'était joli, tes géniteurs n'ont pas directement fait le lien avec la légende de la boîte de Pandore. Oui Pandore, vous savez cette femme aux multiples vices et d'une grande beauté qui poussée par sa curiosité ouvrit la boîte des dieux et relâcha tous les maux sur la planète. Rien que ça. Autant dire que ce n'est pas toujours facile à porter mais tu le préfère parce qu'il ne vient pas de la volonté de ta mère. T'aime la dualité qu'il évoque. Quant à ton troisième prénom Isaure ? Ta grand-mère paternel s'appelait ainsi, seul vestige finalement de tes origines françaises... âge 22 ans bientôt 23, la jeunesse décadente. date et lieu de naissance Le 26 décembre 1991 ici-même à Columbus Ohio. Encore et toujours, t'as jamais décollé d'ici même si tu rêve de cet autre monde, celui par lequel t'espère t'échapper. Puisque le bonheur est impossible recherchons au moins un calvaire agréable. originesAméricaines et françaises du côté de ton paternel, même si tu n'a jamais mis un pied là-bas. T'aimerais mais dans la vie on a rarement ce qu'on veut, tu ne le sais que trop nationalitéAméricainesituationCélib à terre. Amoureuse du passé, corps avide et abîmé. Un lit différent souvent pour combler. Vide ou fausse, quand le masque devient la seule identité. Parce qu'on ne se débarrasse jamais de ses fantômes, un pas en avant deux en arrière. Le yoyo sentimental. Give me loveorientation sexuellePansexuelle. Poitrine ou pénis ça n'importe pas à tes yeux, tu tombe amoureuse d'une personne non d'une enveloppe. confréries souhaitéesGamma Rho Zêta or student année GRADUATE, cinquième annéeétudes tu suis des études de littérature et de langues anciennes. T'as pas hâte pour autant de quitter les bancs de l'école comme on dit. La vie réelle ne te passionne pas du tout, tu préfère de loin t'échapper dans tes bouquins. Tu es également serveuse au Max & Erma's et tu bosse le week-end dans la librairie de downtown area, tu cumule les jobs pour pouvoir payer tes études et ton loyer. Le reste de ton fric tu l'envoies à ton père. avatar Nastassia Lindes la poupée crédits WILD COOKIE.
more about your character
Elle ne croit plus en Dieu, si jamais il existe alors elle ne comprend pas ses choix si tenté qu'il en fasse...Pour elle Dieu est un enfant qui joue avec une fourmilière. ◭ Pandora c'est le genre de fille hyper rationnelle pour elle avoir peur de passer sous une échelle ou fuir devant un chat noir est complètement ridicule. ◭ Son péché mignon reste les bouquins assurément, la blondinette est un peu une sorte de Belle dans la "Belle et la Bête" à s'extasier devant une bibliothèque et à arpenter les vieux bouquinistes afin d'y dénicher un ouvrage inconnu qui lui promet monts et merveilles. Elle raffole aussi des vieux films. ◭ C’est une maniaque du contrôle, elle ne supporte pas que quelque chose lui échappe et à besoin de tout gérer tout le temps. Maniaque de la propreté et du rangement il faut que tout soit classé, étiqueté, à sa place. La jeune femme peut mettre des heures à tout reclasser elle trouve cela apaisant, elle ne le fait même pas exprès c'est un automatisme qui s'apparente à un toc, le plus fréquent et de ranger les livres, les siens comme chez les autres ou dans la librairie où elle bosse, par ordre alphabétique. Il lui arrive aussi de se réveiller en pleine nuit pour plier des fringues ou passer l'aspirateur, c'est plus fort qu'elle, elle se lave aussi plusieurs fois par jour. ◭ Elle est loin d’être de ces débauchés qui ne tiennent plus debout passé minuit, même si elle adore faire la fête elle ne boit que très rarement voir pas du tout. Pandora est contre l'alcool, elle n'aime pas en boire ni même voir des gens complètement déchirés. Voir son père au fond de son verre depuis son enfance l'a vacciné pour toujours. Par contre elle consomme d’autres produits illicites avec plus de facilité. ◭ Elle ne supporte pas la fainéantise et l'attentisme surtout chez les gosses de riches qui savent que papa et maman vont se charger de tout à leur place, ceux qui sont nés avec une cuillère en argent dans la bouche et pensent que tout leur est dû. ◭ Elle est surdouée ◭ était une vrai Queen Bee au lycée ◭ doit être la meilleure des battantes, la plus intelligente, la plus couronnée de succès sinon elle ne se reconnaît plus ◭ recherche sans arrêt l'attention et l'admiration des autres ◭ fait cela car elle a un sentiment d'abandon depuis toute jeune, voyant ses proches la quitter un par un. ◭ est dépendante de son entourage ◭ Pandora a un besoin énorme de reconnaissance ◭ n'a pas peur d'écraser les autres pour réussir ◭ Elle est partie de chez elle à 18 ans et n'y a jamais remis les pieds, elle continue d'envoyer de l'argent à son père régulièrement pourtant ◭ Lunatique, elle change d’avis et d’humeur comme de chemise, indécise, inconstante. Elle dit blanc puis noir, répond oui et non et peut être. Une vraie balance qui penche la tête à gauche avant de se retourner sur la droite. Elle se bat constamment avec elle-même. Sa culpabilité l’a transformé, elle tente d’enfouir ses erreurs et ses démons, faire resurgir une personnalité jusqu’alors oubliée. Un extrême paradoxe. Il y a là elle du quotidien et celle qu’elle dissimule depuis toujours. Un combat entre deux mêmes faces, un miroir qui se renvoie son reflet à l’infini. Elle est complètement perdue entre celle qu’est elle, celle qu’elle montre, ce qu’elle veut devenir, ce qu’elle croit devoir incarner. Ainsi on ne sait jamais à quoi s’en tenir avec elle, il faut savoir s’adapter aisément, parfois joyeuse, douce, amusante, attendrissante, volontaire, positive comme dépressive, renfermée, lunaire, ailleurs. Parfois narcissique, manipulatrice, cassante, froide, troublante, rebelle, fausse, égocentrique, ambitieuse, séductrice. Elles sont comme deux, trois, quatre, elles se déchirent ensemble, et pensent à plusieurs. C’est un esprit instable, des rouages qui pètent. Clic, clic. Quand le masque se fissure et qu’on se retrouve avec de multiples identités.
groupe
GAMMA RHO ZÊTA Pandora c’est la gamma dans toute sa splendeur, une grande asperge blonde qui adore minauder et flirt dès qu’elle en a l’occasion. Pandora c’est des grands yeux de biches, un sourire enjôleur mais faux, des pompons à la main pour encourager les Bêta en criant des slogans stupides qu’elle déteste au fond. Pandora c’est la nana un peu superficielle, un peu écervelée, trop méprisante au quotidien qui clame haut et fort que les Gamma sont les filles d’Aphrodite. Ha-ha. Pandora c’est l’illusion de la poupée barbie. Elle joue de cette image, l’use, en abuse encore et encore et ce depuis des années. Elle cache ses capacités sous un rouge à lèvre pourpre, elle dissimule ses peurs derrière une assurance feinte. Quand ça fait mal faut pas que ça dure. C'est comme quand on arrache un pansement, faut le faire d'un coup. On serre les dents et c'est fini. Les Gamma c’est une protection, une couverture, un masque de plus. Les masques ça protège, ça étouffe aussi.
Dernière édition par C. Pandora Swan le Ven 1 Aoû - 18:47, édité 2 fois
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(#) Sujet: Re: PANDORA ☠ Everytime I close my eyes, it's like dark paradise Jeu 31 Juil - 16:55
tell me more about your story
Jusqu'où faut-il s'enfuir pour guérir une absence ? Jusqu'où faut-il s'enfuir pour échapper à sa douleur, à son ombre, à sa vie ?
This innocence is brilliant, I hope that it will stay. This moment is perfect, please don't go away…
« Plus haut ! Plus haut James ! » Cris-tu de ta balançoire. T’as tout juste huit ans, James en a dix, la vie s’écoule lentement et rien ne peut venir entacher ton bonheur. A cet âge là vous n’avez pas besoin de grand-chose pour être heureux, vous vous réjouissez d’un rien, vous amusez avec un rien, c’est l’innocence, l’insouciance, n’y a-t-il pas de meilleure période que l’enfance ? La vérité c’est que t’as toujours su, t’as toujours voulu y rester, figer ces instants de bonheur, mais le problème avec le bonheur, c’est qu’il arrive sur ses jambes frêles, on ne s’y attend pas et on a à peine le temps de se rendre compte qu’on l’a en face de soi qu’il est déjà reparti, aussi vite qu’il est venu. Alors haut, toujours plus haut, encore plus haut, il te pousse, tu te hisse, tu tente d’attraper le vide, de saisir les nuages, d’atteindre le ciel, t’as l’impression de voler, tu ris aux éclats, lui aussi, tu l’entends derrière ton dos, vous n’êtes que des enfants, vous vivez dans l’instant, jamais dans la peur du lendemain, au fond, c’est cela votre chance. Finalement il vient s’asseoir sur la balançoire près de toi et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire se retrouve à tes côtés, à brasser l’air avec ses pieds, de bas en haut, de haut en bas « Prête Clé ? » te demande t-il en riant « Un…deux…trois ! » Vous vous élancez alors en avant pour atterrir sur le tas de feuilles mortes en face de vous, ce jeu vous le faîte tout le temps, c’est à qui arrivera le plus loin. - Tu as triché James ! lui reproche-tu en arquant un sourcil. - Non c’est pas vrai ! - Si espèce de menteur ! - Je ne mens pas ! - Si tu mens. - Non. - Si ! répliques-tu de plus belle en lui lançant des feuilles qui s’éparpillent dans ses cheveux bruns. Il fait mine d’être surprit, toi de bouder, et finalement une course poursuite s’engage dans le jardin tandis que ton père vous appelle pour rentrer. Assis tous deux à la table de la cuisine vous vous souriez avant qu’une autre dispute ne se déclenche sur lequel de vous à piqué un biscuit à l’autre, tu sais que c’est toi, mais tu ne le diras pas, il ne t’en veut pas, ces chamailleries, vous en avez l’habitude, c’est amusant. Par contre, ton père vous a préparé le goûté, ça ce n’est pas habituel. - Où est maman ? Tu t’interroge, ta voix se fait curieuse. Aux aguets. - Elle est partie. - Faire des courses ? - Non Clé, pas faire des courses. Soupire-t-il exaspéré. - Chez Madame Robinson ? - Non plus. - C’est elle qui prépare le goûté normalement le jeudi. - Je sais Clélia. - Pourquoi tu le fais alors ? - Parce que c’est bien parfois, le changement. Le changement…mot redouté, quel changement ? Pourquoi ? Comment ? Toi au fond tu n’aime pas le changement, même encore aujourd’hui, que les choses bougent, se transforment, ça te fait peur, car quand les choses sont bien comme elles sont, on n’a aucune envie de les voir changer, elles n’en ont pas besoin. Non, le changement, tu le repousse, le rejette, tu ne le désire pas. Mais, le problème avec le changement, c’est qu'il ne demande jamais votre avis pour venir, il débarque, et s’installe. Pollue. Tout ce qui doit arriver arrivera, quel que soient vos efforts pour l'éviter. Tout ce qui ne doit pas arriver n'arrivera pas, quel que soient vos efforts pour l'obtenir. Dire qu’elle était partie était un euphémisme, ta mère avait en effet foutu le camp et n’était pas prête de revenir. Du jour au lendemain, elle vous avait quitté, sans se retourner, sans te dire au revoir, sans même prendre ses affaires avec elle. T’as toujours espéré qu'elle reviendrait te chercher un jour, combien de fois as-tu retourné tous ses vêtements pour trouver un mot, un signe, qu’elle aurait laissé pour toi, et rien que pour toi, pour te dire qu’elle t’aimait, t’expliquer les raisons de son départ. Mais elle n’avait rien laissé derrière elle, rien à part ce trou béant dans vos vies. Et elle te manque. Et tu la déteste. Et elle te manque. Mais ça, tu ne l’as jamais avoué à personne, excepté à James. Ton père a bien tenté d’assumer toutes les responsabilités seul, il a tenté de prendre sur lui de faire du mieux qu’il pouvait mais cette perte il ne l’a jamais supporté. Chacun vit le manque à sa façon, ton paternel lui avait trouvé refuge dans l’alcool, noyant son désespoir et cet abandon dans un verre de whisky. Malheureusement pour toi il n’a plus jamais été le même homme depuis le départ de ta mère, il est devenu violent. Parfois, puis de plus en plus souvent il avait des crises de colère incontrôlées, quand cela lui arrivait il passait sa fureur sous tout ce qu’il avait sous la main, y comprit la gamine que t’étais. T’encaissais les coups et ne t’en plaignais jamais, t’avais peur de lui mais tu l’aimais bien plus encore. Il était le seul parent que t’avais après tout, même s’il n’était pas parfait il était toujours là lui au moins. Il restait. Il ne s’enfuyait pas. Avec le temps c’est toi qui appris à prendre soin de lui, les rôles s’étaient inversés. Tu n’avais pas le temps de t’apitoyer sur ton sort, ni même l’envie. Tu préférais montrer au reste du monde que t’étais heureuse, et tu l’étais, du moins tu le feintais, alors où était la différence du moment que t’arrivais à t’en persuader toi-même ?
When you're gone The pieces of my heart are missing you. When you're gone, the words I need to hear to always get me through the day and make it ok. I miss you
Pour compenser ta vie familiale plus que désastreuse t’as pris l’habitude d’exceller dans tout ce que tu entreprends, vie sociale au beau fixe, il est de même pour ta scolarité qui se porte au mieux, surdouée tu n’as jamais vraiment eu à travailler pour faire partie de l’élite, tu es naturellement bonne. De toute manière tu ne laisse pas de place à la médiocrité, enviée et admirée tu dois être cette fille sous les projecteurs, tu as besoin d’être la meilleure partout et tout le temps, c’est le seul moyen que t’as trouvé pour ne pas perdre pied. Si tu n’es pas la plus brillante, la meilleure des battantes, la plus couronnée de succès alors tu ne te reconnais plus. Présidente du comité des élèves, reine de promo, la Queen Bee par excellence c’était toi. Pourtant sous ta façade de jeune fille populaire à qui tout souri se cache une véritable solitude, un désir de reconnaissance si profond, te sentant rejetée depuis le départ de ta génitrice t’as besoin d’être aimer des autres. T’es dépendante de leurs attentions, tu recherche sans cesse leur considération. Seul James savait cela, il était le seul qui te connaissait réellement toi, le seul qui savait comment te prendre, te parler, ce que tu tentais de dissimuler au reste du monde. Ce pourquoi il subissait bien souvent tes humeurs, tes crises de colères comme tes déboires et parfois tes coups bas, il te calmait, te pardonnait. A chaque fois. Pourquoi ? Tout simplement car il était le seul à pouvoir le faire, s’il te fermait sa porte il se doutait bien que tu n’aurais plus aucune limite. T’es quelqu’un d’impulsif, impulsivité qui passe pour de la spontanéité auprès des plus naïfs, t’es cette fille amusante, pleine de vie qui adore attirer l’attention sur sa personne, les autres ne perçoivent pas les blessures que tu camoufle derrière un sourire mesquin, jamais. Les autres s’en tiennent à la surface, les autres croient ce que tu veux bien leur laisser penser, t’as toujours manipulé ton monde et ce depuis toute petite, tu tiens les gens à l’écart car tu n’accorde pas ta confiance. Ne laisser personne t’atteindre est une façon de ne jamais leur donner la possibilité de te décevoir non plus, seulement cela a creusé un vide immense autour de toi. Un gouffre qui tu sens te fais tanguer un peu plus chaque jour. Et puis il a fini par fermer sa porte. James. Par lassitude ? Ou par ennui ? Peut être jugeait-il qu’il avait déjà trop enduré, trop supporté ? Les amitiés d’enfance, on les croit toujours impénétrables, irremplaçables mais elles se craquellent avec le temps, c’est qu’une fissure, ça ne fait rien. En vient une seconde, puis une troisième. La corde finit par céder. Ce fut un éloignement à peine perceptible, une distance. Comme une disparition par vague, une image qui s’efface. La vérité c’est qu’il faisait à présent parti des nombreuses personnes qui t’avaient abandonné, il avait promis que jamais il ne te quitterait. Mais tu t’es bien vite rendue compte que les gens mentent, sans arrêt, personne n’est sincère et tu pouvais ranger James dans cette catégorie, des hypocrites aux belles paroles. Au final peu importe pourquoi il n’était plus là, tu ne voyais qu’une seule chose, il n’avait pas tenu sa promesse. Après tout à quoi bon, puisque les promesses n’engagent que ceux qui se risquent à y croire. Pourtant malgré cette béance à l’intérieur de toi tu n’étais pas plus tolérante ou compréhensive, bien au contraire, tu pansais les plaies comme tu le pouvais. Humiliant les autres, leur faisant vivre un enfer dans l’espoir de te sentir exister.
C’était le cas pour Noah, un jeune homme des plus réservé qui te courait après depuis le collège. Il n’était pas repoussant mais toi et lui vous ne faisiez pas partie du même monde, t’étais en haut de l’échelle sociale et lui se trouvait au ras des pâquerettes, bien qu’il était adorable tu ne te voyais pas du tout vivre quelque chose avec lui. Tu n’es pas tellement une fille superficielle, tu t’en donne seulement l’apparence, non, ce que tu redoutais c’était le regard des autres constamment braqué sur toi. Tu ne pouvais pas te permettre de ternir ton image, t’en avais terriblement peur. A quoi bon se vanter que l’on se fiche de ce que peuvent penser les gens ? C’est faux, tout le monde juge tout le temps, les critiques et les rumeurs fusent et tu ne voulais pas être détruite par les médisances des autres, tu ne l’aurais pas supporté. Alors oui, Noah était gentil et des plus patients avec toi, certes t’aurais pu lui laisser sa chance, d’ailleurs quand vous étiez seuls tous les deux tu baissais ta garde et te confiais à lui, tu lui parlais même parfois de ta mère et du trou sans fond qu’elle avait laissé dans ta vie. C’était le seul qui t’écoutait, t’écoutait vraiment, il ne faisait pas semblant de s’intéresser à toi pour t’avoir dans son lit, non tu savais qu’il voyait au delà de ce que tu projetais aux autres. Peut être qu’il te rappelait James d’une certaine façon, il veillait sur toi quand plus personne ne le faisait. Il était une épaule sur laquelle se reposer, un soutient au quotidien. Vous aviez même échangé un baiser au cours d’une soirée où t’avais trop bu, prévenant comme il était il t’avait raccompagné sans même chercher à profiter de la situation. En fin de compte il ne méritait pas la manière dont tu le traitais. En public tu l’ignorais, faisais comme-ci tu ne le connaissais pas et te moquais de lui avec tes amis. Tu détestais avoir ce genre de comportement car tu n’étais pas ce genre de fille, il était ton ami, bien plus que tout ces imbéciles d’ado avec qui tu traînais tout le temps.
Seulement un jour les choses dégénérèrent, jamais tu n’aurais pensé que cela pourrait aller si loin, pourtant ce fut le cas. Alors que tu étais venue le retrouver chez lui Noah semblait assez perturbé par ton comportement, campant sur tes positions pensant qu’il te pardonnerait comme à son habitude tu ne t’excusas même pas de ce que tu lui faisais subir tous les jours au lycée. Pour la première fois vous vous disputiez, il s’énerva désemparé, ne sachant plus que faire pour gagner ton amour ou tout du moins ton affection, ce qu’il ignorait alors c’est que tu partageais déjà bel et bien ses sentiments bien que tu te refusais à ouvrir les yeux. On dit qu'on se rend compte de l'importance des choses seulement une fois qu'on les a perdus. Tu te rendais pas compte à l’époque à quel point cela était vrai. - Pandora ! Pandora si tu pars j-je... - Tu quoi ? demandas-tu exaspérée. - Je me tue ! - Mais oui c’est ça ! Tu quittas sa chambre sans même te retourner, les menaces n’étaient pas efficaces sur toi et tu trouvas cela vraiment immature de sa part. D’ailleurs tu le lui reprocherais la prochaine fois que vous vous verriez.
Mais… Il n’y eut pas de prochaine fois. Jamais, jamais tu n’aurais pensé qu’il le ferait, jamais tu ne t’en serais douté même une seconde. Pourtant Noah ce jour là s’était suicidé et malheureusement pour toi tu n’aurais plus l’occasion de t’excuser auprès de lui ou lui dire combien il comptait à tes yeux et combien il t’avait aidé. Lorsqu’on t’annonça la nouvelle le lundi matin tu ne pus le croire, tu te refusais à admettre cette réalité bien trop dure à tes yeux. Le choc que te causa la nouvelle fut tel que tu t’empressas d’aller vomir dans les toilettes du lycée. C’était comme si tout ton être rejetait cette perte, comme si ton corps entier souffrait de la mort de Noah. Personne ne comprit les raisons de ta douleur, ta meilleure amie arriva à peine à calmer ta crise de panique, tous les regards fixés sur toi mais pour des raisons différentes cette fois. Après l’enterrement tu restas des semaines cloitrée chez toi, refusant de sortir ou de parler à qui que ce soit. Tu n’arrivais pas à digérer le départ de ton ami, il t’avait abandonné là, dans ce purgatoire que tu ne supportais plus, dans cette cage dorée à laquelle tu ne trouvais plus d’issue. Plus que le manque intolérable de sa présence c’est une culpabilité sans nom qui te rongeait de l’intérieur, quelque chose s’était brisé ce jour là et rien ne pourrait le réparer. Comment avait-tu pus lui répondre cela ? Comment avais-tu-même osé ? C’est uniquement ta faute s’il est mort, tu es responsable de ce drame, de cela t’en es persuadée. Son fantôme te hante, derrière chaque regard, à chaque pas que tu fais, tu ne peux te le pardonner sachant que tu as son sang sur les mains. Parce qu’il y a des chagrins d'amour que le temps n'efface pas et qui laissent aux sourires des cicatrices imparfaites.
Avant est un pays magique.
I’m friends with the monster that’s under my bed. Get along with the voices inside of my head
Et puis tu es arrivée ici. Ici dans ce rien, ce vide, ce néant. Non, en fait c’est pas du néant mais du superflue. Trop de bruits, trop de lumières, trop d’agitation. Un vacarme immense et sans fin. T’étais perdue, esseulée, désemparée, désincarnée. Tu n’avais plus tes repères, tu étais seule dans cet amas d’immondices. Tu ne te reconnaissais même plus, suspendue à ta détresse, à a ta culpabilité, t’es devenue ces êtres sans âme et conscience, ces voleurs d’innocence. Tu avais tout, puis tout perdu, sensation de bonheur oublié qui te faisait écho douloureusement. Cette plénitude t’avait quitté sans que tu n’aies la possibilité de la rattraper. La chute avait été brutale, plus que brutale. Elle t’avait achevé sur le coup. Tu t’en es pas complètement remise, non jamais. C’est là, pas en surface mais tu peux presque le sentir sous ta peau. T’as percuté, tu as réellement compris l’étendu des dégâts. T’as essayé, de toute tes forces d’être différente, de ressembler à celle que Noah voyait en toi. Parfois t’y arrive. Souvent t’échoue. C’est un combat sans fin, éreintant, éprouvant. T’as l’impression d’être désespérément et irrémédiablement, seule. Tu t’es effondrée. Tu t’effondre encore. Ca t’arrive quand t’es seule dans ta chambre, quand tu te retrouve avec toi-même. Au bord d’une route, dans la salle de bain, derrière les gradins. Une fille à genoux qui mord sa main dans l’espoir de ressentir quelque chose. Et qui hurle. Qui hurle une plainte incohérente. Comme si le désespoir prenait forme. La forme d’un cri. Tu cris la fin d’un rêve, tu cris la fin du monde. Tu cris la fin de celui que tu aimais et qui a disparu en un instant. Mort pendu. Mort. Tu cris l’atroce réalité de cette vie injuste qui donne, et qui reprend. Tu cris ce que vous avez vécu, ce que vous auriez pu vivre encore. Tu cris ce qu’il est. Etait. Ce qu’il aurait pu devenir. Tu cris ta détresse, ta douleur, ton amour…
Et puis tu t’endors, tu te réveille. Chaque jour est la répétition du précédent. T’essaye de t’échapper à cette vie qui te pèse. Tu rêve. Tu te fissure en un millier de morceaux. Tu recommence ailleurs, avec quelqu’un d’autre. Et tant pis si tout est calculé, manipulé, déguisé. La vérité ? C’est abstrait la vérité, ça n’existe pas. Chacun a la sienne. Rien n’est vrai tout est faux. Dans cette résidence, cette cage dorée tu découvris que tu n’avais jamais su jusqu'alors ce que signifiait ce mot ni éprouvé ce sentiment - celui où quelque chose ou quelqu'un vous manque au point d'en ressentir une souffrance physique. Tu t'enfermais à clé dans ta chambre et, ouvrant la penderie, tu prenais son pull dans tes bras et y enfouissais le visage pour humer son odeur dans l’espoir fou de retrouver la sienne. T’essayais de te rappeler la différence, la nuance. Ce n’est rien, se remémorer une odeur, pourtant cela semblait impossible, inatteignable. Le cœur serré, tu fermais les yeux et il arrivait que tu tombes à genoux, tordue en deux par une douleur à l'abdomen, comme si tu avais reçu une flèche empoisonnée. Le temps t’a appris une chose. La vie est un chemin qui se parcourt dans un seul sens... La reprendre à zéro est impossible. On peut choisir sa destination, réfléchir quand on arrive à une intersection, ralentir, accélérer, décider de ne plus refaire les mêmes erreurs, mais on ne revient jamais en arrière. Vivre c'est se mettre en danger. De la même façon qu'apprendre à marcher c'est d'abord accepter l'idée de tomber. Alors t’es tombée, plusieurs fois même. Mais tu t’es relevée, avec de l’aide ou seule mais tu n’avais plus le choix. Tu ne pouvais plus te morfondre. Tu ne peux plus te morfondre.
Tu as peur du changement mais tu ne t'es jamais sentie aussi épanouie que les fois où tu t'es un peu éloignée de ton quotidien. Peut être que tu mourrais d'envie de quitter ta petite bulle de confort et de partir à l'aventure, mais le problème c'est que tu aime tellement les gens qui t'entourent que tu n'ose pas t'imaginer loin d'eux... Au fond tu es réaliste, car les liens se défont aussi vite qu'ils ne se créent, personne n'est indispensable et la distance finit toujours pas l'emporter sur les relations que tu pensais pourtant solides. D’abord ta mère, James, Noah.. La liste est encore longue. Rares sont les personnes qui resteront dans ta vie quel que soit l'endroit où tu te trouve. Tu sais que quand on part la vie suit son cours, les choses changent forcément, et lorsqu'on revient, on ne se sent plus tout à fait chez soi car rien n'est plus pareil. Et puis parce qu'on est différent aussi. Toi tu as été forcé de changer d'air, puis tu t’es surprise à avoir l’envie de découvrir de nouveaux endroits, de nouvelles personnes, de nouveaux modes de vie. Tu veux avoir des choses à raconter, tu veux t'en prendre plein la vue, plein le cœur, plein la tête... T’es coincée ici, Columbus. Un jour tu partiras. Et tu as peur de changer et de ne plus te reconnaître toi-même. Alors tu es toujours là, tu t’es fais à ce monde du moins tu essayes mais tu ne peux t’empêcher d’être rongée par les regrets. T’as cette volonté, ce désir ardent de continuer à vivre mais t’es obnubilée par ton passé. Par son ombre, son fantôme. Tu pensais avoir oublié, mais en réalité c'est simplement devenue une habitude. Chercher son image, son visage partout où tu vas, ou te retourner dans la rue en croyant avoir entendu sa voix, c'est de l'habitude. Au fond tu le chercheras toute ta vie, tu le cherches déjà dans chaque homme que tu rencontres. Est-ce que c'est le prix à payer quand on a laissé passer son grand amour ? Peut être qu'au final t’es condamnée à chercher dans d'autres visages celui qui te hante en rêve. T’as fini par le trouver, ou peut être est-ce lui qui est tombé sur toi ? Peu importe. L’espoir…Est-ce que ça meurt l’espoir ?
Dernière édition par C. Pandora Swan le Ven 1 Aoû - 21:25, édité 5 fois
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(#) Sujet: Re: PANDORA ☠ Everytime I close my eyes, it's like dark paradise Jeu 31 Juil - 16:57
Omg, t'es sur FYS non ? Bienvenue ici et si tu as questions n'hésite pas.
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V. Ivy Ioannis
FONDA ♔ I WAS THERE FOR YOU IN YOUR DARKEST TIMES
DATE D'INSCRIPTION : 29/07/2014
MESSAGES : 294
POINTS : 623
AVATAR : holland.
CREDIT : metaphor.
ÂGE : 22 babes.
ÉTUDES : arts.
ANNÉE D'ÉTUDE : deuxième
PSEUDO / PRÉNOM : vendetta. / clarisse.
RP : J'suis libre!
CÔTÉ COEUR : célibataire
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(#) Sujet: Re: PANDORA ☠ Everytime I close my eyes, it's like dark paradise Jeu 31 Juil - 16:58
Bienvenue (tu serais pas cephei de fys? )
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(#) Sujet: Re: PANDORA ☠ Everytime I close my eyes, it's like dark paradise Jeu 31 Juil - 17:00
Fleur-Anaëlle V. Andrews a écrit:
bienvenuuuue
quel choix d'avatar et de pseudo
Merci beaucoup par contre tu peux reposter ton message parce que tu me casse toute ma présentation xDDDDD merci
Proserpine Rhodes a écrit:
Omg, t'es sur FYS non ? Bienvenue ici et si tu as questions n'hésite pas.
En effet Bryséis, je vous suis t'as vu ça Merci beaucoup
E. Lula Campbell a écrit:
Bienvenue (tu serais pas cephei de fys? )
Bingo tu m'as reconnu Qu'est-ce qui t'as mis sur la voie ?
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V. Ivy Ioannis
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(#) Sujet: Re: PANDORA ☠ Everytime I close my eyes, it's like dark paradise Jeu 31 Juil - 17:01
la chanson qui se lance toute seule en haut
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(#) Sujet: Re: PANDORA ☠ Everytime I close my eyes, it's like dark paradise Jeu 31 Juil - 17:01
Ah oui en effet je fais tout le temps ça
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V. Ivy Ioannis
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(#) Sujet: Re: PANDORA ☠ Everytime I close my eyes, it's like dark paradise Jeu 31 Juil - 17:02
et pui le pseudo bazz aussi
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(#) Sujet: Re: PANDORA ☠ Everytime I close my eyes, it's like dark paradise Jeu 31 Juil - 17:03
T'as bonne mémoire je me souviens jamais des pseudo des gens moi
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V. Ivy Ioannis
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(#) Sujet: Re: PANDORA ☠ Everytime I close my eyes, it's like dark paradise Jeu 31 Juil - 17:03
je m'en suis rappelée à cause des avatars de bree
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(#) Sujet: Re: PANDORA ☠ Everytime I close my eyes, it's like dark paradise Jeu 31 Juil - 17:04
Haha c'est vrai que jte les pique H24, sont trop sublimes en même temps Tu m'en feras de Nastassia ?
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V. Ivy Ioannis
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(#) Sujet: Re: PANDORA ☠ Everytime I close my eyes, it's like dark paradise Jeu 31 Juil - 17:04
oui
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(#) Sujet: Re: PANDORA ☠ Everytime I close my eyes, it's like dark paradise Jeu 31 Juil - 17:06
OOOOH SUPER Contente de te retrouver ici en tout cas !
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V. Ivy Ioannis
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(#) Sujet: Re: PANDORA ☠ Everytime I close my eyes, it's like dark paradise Jeu 31 Juil - 17:10
moi aussi je suis contente que tu sois venue
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(#) Sujet: Re: PANDORA ☠ Everytime I close my eyes, it's like dark paradise Jeu 31 Juil - 17:16
Han mais graaaave. Trop heureuse de te voir ici et t'as choisis les Gammas en plus !
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(#) Sujet: Re: PANDORA ☠ Everytime I close my eyes, it's like dark paradise Jeu 31 Juil - 17:26
Proserpine Rhodes a écrit:
Han mais graaaave. Trop heureuse de te voir ici et t'as choisis les Gammas en plus !
Ouiiii J'ai vu que t'étais la présidente en plus vas-y t'as intérêt de bien me bizuter et j'exige un lien de la mort qui tue
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(#) Sujet: Re: PANDORA ☠ Everytime I close my eyes, it's like dark paradise Jeu 31 Juil - 17:31
Et ouais c'est moi. Enfin, jusqu'aux élections. Bien sûr, je me chargerai de toi et puis oui, faut un lien qui déchire.
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(#) Sujet: Re: PANDORA ☠ Everytime I close my eyes, it's like dark paradise Jeu 31 Juil - 17:35
bienvenue, une gamma en plus
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(#) Sujet: Re: PANDORA ☠ Everytime I close my eyes, it's like dark paradise Jeu 31 Juil - 17:36
Bienvenue parmi nous future gamma :)
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(#) Sujet: Re: PANDORA ☠ Everytime I close my eyes, it's like dark paradise Jeu 31 Juil - 17:46
NASTASSIAAAAAAAAAAAAA elle est trop belle cette puis ton pseudo bienvenue parmi nous bon courage pour ta fiche :otarie:
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(#) Sujet: Re: PANDORA ☠ Everytime I close my eyes, it's like dark paradise Jeu 31 Juil - 18:13
Ton nom + ton vava + GAMMMA JOTAIIIMME T'as choisi la meilleure des confréries, et tu vas te faire des amies en or On est les plus belles, les plus sympas, et je ne te parle même pas de nos soirées pyjamas, bref on est les meilleures et avec une telles fille que toi on ne deviendra que plus parfaites -enfin si on peut dépasser la perfection- :otarie: Enfin bienvenue
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(#) Sujet: Re: PANDORA ☠ Everytime I close my eyes, it's like dark paradise Jeu 31 Juil - 18:20
Une gamma. Bienvenue parmi nous.
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Zoé A. Beauchamp
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After we go to the bathroom, can we go smoke a cigarette? I really need one. But first, let me take a selfie
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j'ai une cousine, affreuse. elle s'appelle BRITTANY. on ne s'aime pas du tout et ce n'est pas prêt de changer. puis il y a MATTHEW, mon meilleur ami. je suis bien avec lui, il embellit un peu ma vie. c'est mon âme-soeur, et je l'aime beaucoup. avec OLYMPE, nous sommes les cupidons de l'Ohio, on adore mettre les gens en couple.