If I could punch an onion in the face I would. I hate them so much. They're the groupies of the food chain.

**DATE D'INSCRIPTION** : 21/07/2014

augustin rowan

ft. alfie deyes

and behind the computer

pseudo our deal prénom chloé. âge dix neuf ans où as-tu connu BAP ? cla d'amour ton avis une bebom scénario ou personnage inventé pi sisi autre chose If I could punch an onion in the face I would. I hate them so much. They're the groupies of the food chain. 2244831774

If I could punch an onion in the face I would. I hate them so much. They're the groupies of the food chain. 2244831774

me, myself and i

nom rowan prénom augustin âge vingt deux ans date et lieu de naissance premier aout à Boston origines américaines nationalité américaine situation papa célibataire orientation sexuelle hétéro confréries souhaitées theta ou élève année quatrième année études médecine avatar alfie deyes crédits SWEET DISASTER

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Augustin c'est le genre de gendre parfait. Il est poli, sympa, respectueux et bosseur. On peut pas dire qu'il fou rien de sa vie. Il sait ce qu'il veut faire et se donne les moyens pour y arriver. Y'a de ça quatre ans, c'était plutôt le mec qui faisait la fête sans se poser de question. Il se croyait invincible avec la vie devant lui. Mais parfois la vie vous réserve des surprises qui peuvent vous changer. Il ne se laisse pas marcher sur les pieds, qu'on ne lui dise pas non autrement il vous prouvera par a + b que vous avez tort. Il sait qu'il peut parfois se tromper mais le reconnait et surtout, apprend de ses erreurs. Autrement dit, Augustin c'est un bon parti à prendre.

groupe

Parce qu'Augustin c'est le mec bosseur par excellence. Les soirées, il a pas le temps pour ça. Du coup, il a rejoint une confrérie où on y trouve des gens comme lui. Cela dit, ça ne l'empêche pas d'avoir des potes autour. Et puis, il s'en fiche pas mal des préjugés qu'ont les gens sur les intellos comme lui. Tout ce qui compte dans sa tête c'est que d'ici dix ans, il aura un boulot passionnant et qui paye bien.

**DATE D'INSCRIPTION** : 21/07/2014

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being a dad is the most scary thing in the whole world

On raconte que notre vie commence à notre naissance. C'est pas totalement faux dans le sens ou on respire pour la première fois à ce moment, on apprend à se déplacer, à se nourrir ou encore à parler dans la foulée. Mais en ce qui me concerne, ma vie a commencé il y a quatre ans, à la naissance de ma fille Paige.

Combien de temps déjà ? Je regarde un peu stressé autour de moi jusqu'à ce que mes yeux tombe sur cette foutue boîte blanche. En la voyant, je frémi un peu plus. 5 minutes normalement.. Je me retourne vers elle un peu inquiet. Elle n'a pas l'air bien non plus à voir son teint pâle. J'aimerais bien pouvoir la rassurer mais je n'ai aucune idée de comment je peux faire. J'ai tout autant peur qu'elle alors il serait difficile de trouver les bons mots. Si jamais c'est.. Attends de voir, on en reparle après. Je lui prends alors la main et la regarde. Non mais sérieusement, je veux que tu saches que je t'aime et que je suis prêt à vivre cette aventure avec toi. Elle ferme les yeux. Pas une parole, juste une larme. Je n'imaginais pas pouvoir être un jour ce genre de mec et pourtant. Parfois, la vie nous offre des surprises. Bonnes comme mauvaises, on les prend parce qu'on n'a pas le choix. C'est l'heure, t'es prête..? Elle rouvre péniblement les yeux et hoche la tête légèrement. Nos regards se croisent avant d’atterrir sur ce qui allait changer notre futur, nos projets, notre avenir. Deux plus bleus ornaient l'opercule de ce bâton blanc imbibé d'urine. Mes muscles m'abandonnaient en même temps que mon cerveau assimilait la chose. J'allais devenir père à dix neuf ans.

Gus, tu sers vraiment à rien. J'en peux plus, je trime toute la journée avec ce bide de baleine et quand je rentre t'as même pas fait à manger. Je redresse les yeux de mes cahiers et la regarde avec une once d'énervement. T'étais où rappel moi. Elle pose alors ses sacs sur une chaise vieille comme Mathusalem récupéré dans le vide grenier du coin. Faut bien que le bébé puisse s'habiller quand il va naître ! Et qu'il ait un endroit où dormir ! Fais pas comme si c'était pas important. Je lâche alors mon stylo, sentant au plus profond de moi le feu ne demandant qu'à sortir. Et j'étais en cours puis au boulot parce que comme tu dis, faut bien un toit au dessus de la tête de notre enfant. Alors excuses moi si madame ne peut pas mettre les pieds sous la table en rentrant du centre commercial ou de chez sa mère sept jours sur sept. Et voilà, la dispute éclate encore une fois dans notre vingt mètres carré de futurs parents adolescents. Les voisins doivent ne plus en pouvoir.