nom Dunegan. prénom La plupart des gens le connaissent sous le nom de Leornardo. Le choix de ce prénom n’est pas très étonnant lorsqu’on sait que sa mère est d’origine italienne. Pour faire court, on l’appelle Leo tout simplement. Son second prénom est Thomas et seule sa famille proche est autorisée à l’appeler Thommy. âge 25 ans. date et lieu de naissance 20 mai 1989 à Détroit, Michigan. origines américaine et italienne. nationalité américain. situation célibataire. orientation sexuelle hétérosexuel. Seules les femmes suscitent son intérêt et son attention. confrérie(s) souhaitée(s) kappa eta mu. année écrire ici. études écrire ici. emploi écrire ici. thème du bizutage désiré (En RP, Hors RP, IRL, graphique)  écrire ici.  avatar Jamie Dornan. crédits tumblr.
   

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Au premier abord Leo peut paraitre froid bien que ça ne soit pas le cas ; il est juste un peu trop méfiant ⊹ Il n’aime pas parler de lui ou de sa vie. Il est très secret ⊹ C’est quelqu’un de sociable, qui aime être entouré de ses amis. La solitude, ça n’est pas trop son truc ⊹ Il est sans gêne et n’hésite jamais à dire ce qu’il pense, que cela plaise ou non ⊹ Bien qu’il soit issu d’un milieu aisé, il n’aime pas le mettre en avant. C’est quelqu’un d’assez généreux, qui aime partager ⊹ Parler de sa mère l’agace ; la plupart du temps, il dit simplement qu’elle est morte ⊹ Il peut être assez arrogant quelques fois, mais ne cherche pas particulièrement à blesser les gens ⊹ Leo n'aime pas qu'on lui fasse des reproches. En réalité, il est assez susceptible ⊹ Volage de nature, il se lasse très vite ⊹ C'est un dragueur né et il aime plaire
   

pseudo maxwell. prénom Aïcha. âge 19 yo . pays / région Picardie.  où as-tu connu BAP ?  ah bah ça alors ... j'me souviens plus trop ton avis   . scénario ou personnage inventé PI multicompte écrire ici. autre chose       .

Assis sur ce canapé depuis plus de dix minutes maintenant, Leo ne semblait toujours pas décidé à dire ne serait ce qu’un mot. La femme assise à quelques mètres de lui n’avait elle non plus, pas dit un mot. Elle se contentait de l’observer, ce qui commençait à agacer le jeune homme. Il ne savait pas pourquoi il été venu là. Leo leva les yeux au ciel avant de soupirer. « Je pense que ça ne sera finalement pas nécessaire. Je n’aurais pas dû venir. » La femme se contenta simplement de hocher la tête. Elle ne semblait pas non plus être la plus ouverte des personnes. Leo fronça légèrement les sourcils. Il n’avait jamais été chez un psy auparavant ; cette expérience lui paraissait un peu rude. Il n’était pas malade, loin de là. Il avait simplement ressenti le besoin de parler à une personne extérieure à son entourage, une personne qui ne le connaissait pas. Et une chose était certaine, c’était une expérience qu’il ne retenterait pas. « Il ne s’agit que d’une simple discussion monsieur Dunegan, rien de plus. Faites un effort… Nous allons commencer par parler de choses simples. Pouvez-vous m’en dire plus sur votre enfance ?» A cet instant, Leo se demandait en quoi parler de son enfance allait l’aider. Mais ne voulant pas rester plus longtemps dans cet endroit, il se décida donc à parler. « Je suis né à Detroit et j’y ai grandi … J’ai eu une enfance plutôt pas mal. »



En effet, le jeune Dunegan est né avec une cuiller d’argent dans la bouche. Il est issu d’un milieu aisé ; son père est un riche diplomate et sa mère travaille dans la mode. Il n’a donc pas manqué de grand-chose autant sur le plan financier que sur le plan affectif. Ses parents étaient très présents puisqu’il est leur seul enfant. Ils lui ont donc porté toute leur attention et toute leur affection. Cependant Leo a très peu de souvenirs de sa mère ; du moins au-delà de ses sept ans, il n’en a quasiment pas. En effet, celle-ci était partie du jour au lendemain sans prévenir. A l’époque, il se souvient simplement de ne pas avoir vu sa mère pendant plusieurs jours. Il n’avait pas compris pourquoi et personne ne lui avait expliqué, ce qui était compréhensible étant donné son jeune âge. Il se rappelle simplement des sourires de son père, des sourires tristes qui n’atteignaient pas ses yeux.  Ca n’était que quelques années plus tard qu’il comprit qu’elle s’en était allée de son plein gré, parce qu’elle avait une autre vie à construire, une vie pour laquelle elle n’avait pas hésité à abandonner un mari et un fils. Depuis le début, cette jeune milanaise avait simplement cherché à profiter des biens d’un homme qu’elle avait réussi à mettre dans ses filets. Une fois que c’était fait, elle était partie sans un mot. Avec le temps, en grandissant, Leo avait appris qu’elle s’était remariée et qu’elle avait deux enfants.

« Vous en voulez à votre mère d’être partie de cette façon ? » Perdu dans ses pensées, Leo releva la tête. Il ferma les yeux quelques instants, afin de se remettre les idées en place. Parler de toutes ces choses, de sa mère, était très difficile pour lui. Après un long moment, il se décida à parler. «Si je lui en veux ? Je hais cette femme. Penser à elle me donne la nausée… De toute façon, j’ai tourné la page. » Ca n’était pas totalement vrai.. « Il vous a quand même fallu du temps pour vous en remettre, n’est-ce pas ? » Bien évidemment, il lui avait fallu du temps pour s’en remettre. Aujourd’hui il lui arrivait encore d’y penser, d’éprouver de la peine et de se demander pourquoi.

Caught up in this moment, caught up in your smile

Assise sur la moquette le regard de la jeune femme était plongé dans celui de son ami.  De sa main, elle lui caressait délicatement la joue. Le jeune homme ferma les yeux au contact chaud de sa main. Malgré la pénombre, ses mains retraçaient parfaitement les traits du visage du jeune homme. Ce visage qu’elle avait pris l’habitude de voir depuis quelques petites années maintenant et dont elle ne se lassait pas. Un sourire se dessina petit à petit sur ses lèvres. Lily n’avait pas les idées très claires à cause de la quantité d’alcool qu’elle avait consommé ce soir là. Ils se trouvaient dans un hôtel une fois de plus, hôtel qu’ils avaient choisi un peu au hasard comme ils avaient l’habitude de le faire. C’était comme ça la plupart du temps. Leo avait suffisamment les moyens pour qu’ils se le permettent et c’était le prix à payer pour être tranquille. Ils passaient souvent leur soirée dans les clubs ou dans les bars et s’amusaient jusqu’à des heures très tardives. Leo avait toujours aimé faire la fête, depuis le lycée. Lily le savait et savait également qu’il aimait beaucoup les femmes. Leo lui faisait confiance, mais de son côté était-ce vraiment le cas ? Ces regards qu’ils posaient souvent sur elles ne lui faisaient-ils rien ? Elle ne voulait pas y penser car pour l’instant, elle ne l’avait rien que pour elle. Leo la regardait depuis un petit moment avant de froncer les sourcils puis de lui adresser un sourire. « Je ne sais pas à quoi tu penses mais arrête. » Elle soutenait son regard avant de le détourner petit à petit pour porter son attention sur la bouteille qu’ils avaient laissé sur la table de chevet. D’un geste délicat, Leo la prit par le menton pour qu’elle le regarde à nouveau. « Je pense qu’on en a eu assez pour ce soir. » Autant le dire, il était le plus raisonnable des deux ; en gros le plus raisonnable des irresponsables. Depuis que Leo avait rencontré Lily au lycée, il n’était plus le même. Il avait toujours été ce genre de garçon à passer tout son temps avec ses potes et à s'amuser avec les filles. Il n'avait jamais eu de relation stable, c'était bien une première pour lui. Ils sortaient ensemble depuis un bon bout de temps maintenant. Il n’avait jamais rien ressenti de pareil pour qui que ce soit. Entre eux, il n’y avait aucune règle, ils vivaient comme ils l’entendaient. C’était ce genre de fille qui l’attirait juste par sa simplicité et sa spontanéité. A cet instant, ils se regardaient toujours sans un mot, comme ils aimaient si bien le faire. Leo cala une mèche des cheveux de Lily derrière son oreille. Il lui prit ensuite le menton entre son pouce et son index, pour déposer un baiser chaste sur ses lèvres. Ces simples baisers suffisaient à la faire frissonner. Il aimait ce petit bout de femme et il apprenait à l’aimer encore plus chaque jour. Il savait qu’elle manquait un peu de confiance en elle mais c’était surtout ça qui lui plaisait. « Tu sais, je nous ai trouvé un appart’ » Leo se redressa légèrement et la regarda incrédule, l’air toujours un peu hagard du fait de l’alcool. Il pencha doucement la tête sur le côté. Un appart, pour eux. Ça faisait quelques temps qu’ils en avaient parlés mais Leo ne pensait pas qu’elle l’envisageait très sérieusement. Remarquant l’air un peu perdu du jeune homme, Lily tenta de se rattraper. « Mais je comprendrais si tu préfères attendre. »  Elle savait qu’il était très proche de son père, et que celui-ci n’était pas forcément très ravi de leur relation même s’il était bien trop poli pour le dire ouvertement. Lily ne voulait pas créer une barrière entre Leo et son père. Il l’observa longuement. « C’est toi que je veux. » Tout ce qui s’échappa de la bouche de Lily, ce fut un son inaudible. Trop choquée par cette énième preuve d’affection, elle n’eut le temps de rien ajouter qu’il s’empara à nouveau de ses lèvres. Quelques secondes plus tard, elle se trouvait allonger sur le lit, plongée dans ce regard bleu, le souffle presque coupé. Ils n’arrivaient pas à décrire ces sentiments qu’ils éprouvaient l’un pour l’autre. Ils étaient forts, oppressants, indéfinissables, enivrants. Cette emprise que Leo avait elle, faisait peur quelques fois à Lily. Mais pour le moment, tout ce qu’elle voulait, c’était se perdre en lui et ne penser à rien d’autre.



« Si tu veux un conseil, les femmes, ne t’y attache pas trop. Elles sont tout les mêmes, jolies, vaniteuses, et intéressées. » Leo n’écoutait son père que d’une oreille distraite. Il avait souvent droit à ces discours un peu macho et avec le temps, il n’y prêtait presque plus attention. Mais pour l’instant, son esprit était ailleurs. Dans quelques heures il  prendrait l’avion pour Rio. Il n’avait jamais été au Brésil ; c’était une destination qui faisait rêver Lily. A cette pensée, il eut un pincement au cœur. Cela faisait bien plus d’un mois qu’il n’avait pas vu la jeune femme. Ils avaient mis un terme à leur relation. Tout cela s’était produit en une seule nuit. Leo en gardait d’ailleurs un très mauvais souvenir.
Ils avaient emménagé ensemble depuis quatre mois, mais déjà plus rien n’allait entre eux. Ils ne se parlaient plus comme avant et Leo passait la plupart de son temps avec ses potes. Parfois, ils se regardaient pendant des heures sans rien se dire. Quelque chose avait changé entre eux. Est-ce qu’ils s’aimaient ? Oui, mais ils avaient bien compris que l’amour ne suffisait pas à les rendre heureux. Il s’agissait d’un tout. Et il avait fallu d’un seul soir pour que tout finisse par voler en éclat. Ils s’étaient disputés une fois de plus, pour une raison dont Leo n’était pas très fier. Il se rappelait s’être emporté assez rapidement. « Tu m’avais dit que tu n’oserais Jamais Leo, que ça n’était pas ton genre. Et le pire, c’est que tout le monde le savait sauf moi. » En effet, Lily était la seule à ne pas savoir que Leo allait souvent voir ailleurs. Apprendre qu’il la trompait lui avait fait l’effet d’une douche froide. « Arrête de me faire des scènes pareilles. Ça n’est pas non plus comme si on était marié. » Certainement la phrase de trop. Pour la suite, Leo ne s’en rappelait plus trop. Tout ce dont il se souvenait, c’est qu’elle l’avait insulté ; il s’était énervé et elle s’était retrouvée contre le mur puis poussée violemment contre un meuble. Et à peine quelques secondes plus tard, un vase s’était brisé juste à côté d’elle, lui écorchant légèrement la joue.  Leo se souvenait aussi de l’expression du visage de Lily ; elle était horrifiée. Il lui avait fallu quelques secondes pour réaliser ce qui venait de se passer et il s’était effondré en se fondant en excuses… Depuis ce soir là, il ne l’avait pas revu. Il regrettait réellement son geste et avait du mal à oublier. Dans son état normal, il n’aurait jamais osé lever la main sur une femme. Du moins, c'était ce qu'il avait toujours pensé.

Damn, cette chanson Bref, je te valide, parce que t'es le plus beau des bêtas (Caleb va me tapper si je dis ça, mais tant pis  :otarie: )

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