Affalé sur le sofa de l'appart d'un pote à Caleb, je fumais le pilon que le mec dont je ne connaissais absolument pas le nom faisait tournée à côté de moi. Je bougeais la tête frénétiquement au son de This is how we do de 50 cents, en me demandant qui avait bien pus choisir cette chanson et m'amusais à faire des ronds en recrachant la fumée. J'adorais cette chanson, elle faisait partie de mes préférés. Je baillais alors et zyeutais ma montre, il était déjà presque quatre heure et on venait à peine d'arriver dans le 2 pièces. Je relevais la tête et regardais, les yeux fatigués, deux brunes qui s'étaient mis à danser sur la table de salon. Le mec à côté de moi semblait éberlué quand moi je voyais ça tout les jours chez les Bêtas, je lâchais un sourire et m'éclipsais en attrapant mon verre de whisky, sur le balcon. Le vent brûlant vint se coller désagréablement sur ma peau et me pris soudainement une envie de pisser. Je jaugeais ma droite et ma gauche posais le Whisky sur le rebord du balcon et ouvris la braguette de mon jean. Merde, il n'y avait rien de mal après tout. Je devais avoué que j'étais peut-être un petit peu sec mais je regardais tout de même en contrebas pour être sur de mon coup et fis mon affaire.

Titubant, polo à l'air sur le balcon de ce foutu appart' où m'avait traîné Caleb plus tôt, j’observais les lumières de la villes qui s'imposaient devant moi. C'était fou la vue terrible qu'on avait d'ici, Columbus dans son intégralité. Rien à redire, vraiment parfait. Je lâchais des yeux le spectacle quelques secondes pour me mâter l'entre jambe, parce que, il ne faut pas se le cacher, c'est ce que les mecs faisait à longueur de temps, se mater l'engin, lorsque j'entendis la baie-vitré s'ouvrir dans mon dos. « Tu as besoin d'aide Salinger, tu veux que je te la tienne ? » ni une, ni deux, un large sourire se dessina sur mon visage et je remballais l'affaire aussi sec, remontant ma braguette bruyamment. Caitlyn, Caitlyn, Caitlyn... Je me tournais vers là dit demoiselle un léger sourire aux lèvres et affichais un regard satisfait, macho à souhait en découvrant sa silhouette devant moi. Merde, j'étais tellement sec que je ne m'en cachais plus. J'haussais les épaules simplement en attrapant mon verre de Sky lentement et m'avançais vers elle. « J'ai tenu le coup, ça allait, mais merci d'avoir proposé... » Je pris une petite gorgé du liquide et ne pus m’empêcher de me plonger dans ses yeux taquins. Je me pinçais la lèvre, mais c'était déjà trop tard, j'étais mort pour ce soir. Je jetais un coup d’œil furtif à l'intérieur, Caleb semblait faire je ne sais quelle jeu à la con avec un groupe de nanas, ce qui semblait parfait au vu des circonstances. Je reportais mon attention sur Caitlyn ce qui n'était pas dur à faire et me penchais lentement vers son oreille.
« Par contre, j'ai en tête tout pleins d'autres choses sur lesquelles tu pourrais m'aider. » soufflais-je doucement dans son cou. Il fallait que je me rende à l'évidence, cette fille était ma faiblesse du moment.

La tension était clairement monté d'un cran, mais je n'étais en rien étonné. C'est ce que j'aimais chez cette fille, elle savait ce qu'elle voulait, point. Il n'y avait pas de minauderie, pas de chichis. Juste cette putain de tension, présente dés lors qu'on était dans la même pièce. « Dis-moi, de quelles choses me parles-tu au juste ? » J'arquais un sourcil amusé par ce petit jeu qu'elle jouait sans cesse et me redressais alors qu'elle se rapprochais dangereusement de moi. Je restais silencieux, mâchoire crispé alors qu'elle laissait une de ses mains se balader sur mon derrière et l'autre me dessiner le torse lentement pour finir sur mon paquet qui ne resterais pas calme bien longtemps. « Tu parles de CE genre de choses ?  » Mes yeux se plongèrent vicieusement dans les siens. J'avais clairement envie de me la faire là, sur ce balcon. Je déglutis discrètement face à ses invitations déplacées et empoignais son petit cul rebondit de mes mains rustres en lâchant d'une voix rauque un « Par exemple...» quasiment inaudible.  Nos corps commençaient doucement à s'échauffer quand la petite peste se tortilla sous mon étreinte pour se faufiler de l'autre côté du balcon, coupant court brutalement à ce petit jeu malsain. Salope. Je lâchais un petit rire amusé en basculant ma tête en arrière. Elle voulait jouer... Je me retournais lentement serein, je devais avouer que c'était plutôt plaisant, elle aimait me faire languir et ce n'était pas pour me déplaire. Je m'appuyais contre le cadran de la baie et la regardais calmement le verre aux lèvres, tirer sur sa clope. « Je ne suis pas certaine que tu sois en état pour ça Ray, je me trompe ? » Petit rire amusé. C'était typiquement féminin, jouer les non-intéressé lorsque son corps criait d'envie que je la prenne sauvagement contre ce petit muret. J'haussais les épaules simplement « T'as probablement raison … » dis-je simplement en m'avançant verre à la main vers la rambarde à son côté « La beu à tendance à me rendre impuissant et j'ai fumé toute la soirée... » Je lui jetais un bref coup d’œil et reportais mon attention sur le paysage. On savait tout le deux pertinemment comment la soirée allait se terminé, ces petites railleries, c'était simplement les prémices.  Je m'accoudais au balcon pour lui faire face. « Qu'est ce que tu fou dans ce genre de soirées, d'ailleurs, y'a que des cockés et de la racaille, t'as le goût du risque Ainsworth ? » lui balançais-je, mon éternel sourire aux lèvres,  en finissant mon Sky.

Je grimaçais à ma dernière gorgé, posais mon verre sur le muret fermement et passais une main dans mes cheveux en bataille, légèrement cramé. On avait avec Caleb passé le début de la soirée chez les Bêtas, puis migré dans un bar miteux sur Downtown Area où on avait été chassé comme des malpropres parce que ce putain de vigile se rappelait de moi et de cette fameuse altercation avec Bae quelque semaines auparavant. Le bordel.
Et puis on avait fini là, un peu part dépit, mais la weed était plutôt bonne et les meufs aussi, du coup on avait pas totalement perdu notre soirée.  «  Hmm.. disons que j'ai été contrainte de venir ici, mais ça en valait le détour.  » Je souris et m'adossais à la paroi sans quitté du regard Caïtlyn qui roulait des yeux sur moi sans s'en cacher. Sa présence ici m'avait étonné mais je devais avoué que la tournure que prenaient les choses semblait beaucoup plus intéressantes que ça ne l'était au départ. On était sortit entre nous, juste histoire de picoler un peu, j'n'avais fais aucun plan pour la soirée, mais maintenant que Caïtlyn était là devant moi à m'aguicher littéralement comme une petite catin, passant sa langue sur ses lèvres pulpeuses et papillonnant des yeux, je n'avais plus du tout envie de traîner avec Caleb, je voulais clairement me la faire. Elle me tendit son paquet une fois sa clope terminer pour me proposer une garo que j'attrapais sans bronché pour la glissé entre mes lèvres. « Je serais prête à parier que tu t'es tapé toutes ces poufs à l'intérieur, je me trompe ? » Je m'avançais vers elle pour qu'elle me l'allume sans répondre à sa question. Je tirais sur la clope comme un connard et reportais mon attention à l’intérieur en lâchant ma fumée au vent. « Une ou deux, seulement... J'traîne pas souvent par ici. » dis-je en haussant les épaules. « Et puis... faut que la fille me plaise un minimum. Là... dis-je en montrant de la tête les filles qui s'égosillait à l'intérieur. Elles sont bonnes c'est vrai, mais c'est tout. » Je repris une taffe calmement et posais mes yeux sur elle alors qu'elle s’approchait de moi doucement. Caïtlyn était carrément bandante, mais elle avait son truc en plus c'est ce qui faisait que les filles à l’intérieur ne valait pas grand chose à côté. Elle me lança un énième de ces regard aguicheur et je me redressais aussi sec pour attraper doucement ses fines hanches contre la rambarde et plonger mon regard dans le sien.  « Je suis certaine que tu n'en as pas trouvé une seule à mon niveau, n'est-ce pas ? » Je martyrisais ses hanches en rapprochant nos deux corps et approchais dangereusement son visage du mien. « J'sais pas, faut voir... dis-je plaquant son bassin contre ma taille. J'étais un peu sec la dernière fois, j'me souviens plus très bien...» mes mains glissèrent sur son cul et je me mordit la lèvre pour ne pas défaillir devant cet air bien trop peu catholique. La nuit ne faisait finalement que commencer.

J'étais complètement fait, là, coinçant l'infime corps de Cait' contre cette balustrade de mes bras saillants et je devais avouer que comme à l'habitude, elle commençait à prendre le dessus sur moi. Je l'observais un sourire vicieux ancré sur les lèvres se jouer de moi ouvertement dans l'unique but de me rendre fou et balançais ses fines hanches doucement sous mon étreinte puissante. « Ah oui ? Je peux t'en rappeler un vague souvenirs tu sais. » J'arquais un sourcil, satisfait et mes plongeais davantage dans ses yeux taquins. Cette petite peste me dévorait littéralement du regard et bientôt mon caleçon devint quelque peu étroit.
Mon sang ne fit qu'un tour, je fis pression bestialement sur ses fesses parfaitement dessiné tandis qu'elle passait une de ses mains dans ma nuque pour m'attirer à elle et scellé nos lèvres dans un baiser fiévreux. J'étais foutu. Mes mains impatiente se glissèrent sous le tissu de son T-shirt et je la cambrais contre moi, torturant ses lèvres. Merde, c'que je voulais la baiser. Elle coupa court, une fois encore à ce petit moment de fougue, et je l'observais mâchoire crispé, s'amuser de moi. « Je vais m'arrêter là, tu vas finir par tomber amoureux de moi si je continue... » Je souris à la remarque et attrapais son petit cul vigoureusement pour l’asseoir sur le muret, me logeant entre ses cuisses. Je balançais ma clope au vent, clairement plus d'utilité, et me collais à son corps emprisonné. « Comme si tu n'en avais pas envie... » dis-je simplement laissant mes lèvres glisser doucement sur sa joue pour rejoindre son cou.

Niché dans le cou de Cait, mes mains sur ses hanches mouvantes, je commençais clairement à ne plus répondre de moi. La tension était palpable et j'oubliais complètement cette soirée minable. Mes doigts remontèrent doucement le long de son bassin puis de ses côtes saillantes alors que mes lèvres parcouraient sa nuque sous ses frissons d'envie. J'étais plus pressant, bloquant lourdement son corps contre cette rambarde, écrasant ses fines cuisses de mon anatomie à présent bien éveillée. Une de ses main se fraya un chemin dans mes cheveux décoiffés et son soupir me traversa l'échine. Je n'étais plus d'humeur à jouer. Je n'avais en tête que nos peau brûlante se frottant l'une contre l'autre sous l'humidité pesante de l'été et ses tissus dérangeant qui m'empêchais de la sentir contre moi. Elle pris mon visage entre ses mains et je plongeais mon regards dans le siens. J'étais clairement en chien et ses yeux indécent me provoquaient sans réserve. « J'ai envie de toi Ray. » dit-elle dans un murmure avant de passé sa langue sur mes lèvres vicieusement. Je restais silencieux l'observant dans son supplice d'impatiente, c'était tellement excitant de la voir dans cette état. Je me pinçais la lèvre une longue seconde en faisant là un moment interminable et laissais mes mains retomber sur ses hanches, lentement. On était plongé dans l'obscurité. Je jaugeais par dessus mon épaule. La populace à l'intérieur semblait n'avoir aucunement remarqué notre présence et reportais donc mon attention sur Cait. Elle était là, sous mes mains ferme, désireuse dans l'attente du plaisir. J'observais son ventre plat un soupçon dénudé par son top indécemment court et vint l’effleurer doucement remontant le tissu peu à peu du bout des doigts, dévoilant davantage sa silhouette parfaite. Son nombril, ses côtes nettement dessinés et son soutien-gorge provoquant retenant sa poitrine généreuse qui me suppliait de la libérer. Mes yeux s’échappèrent dans les siens et une fois encore je ne pus me retenir d'emprisonner brutalement ses lèvres des miennes, empoignant d'une main sauvage un de ses sein. Mon souffle se fit plus court tant nos lèvres jouaient fiévreusement ensemble et ma main libre se glissa dans son dos pour dégrafer ce petit con de soutif qui me charriait. Je la voulait ici et maintenant, ce n'était plus un secret.  

A l'heure qu'il était, j'en avais pas grand chose à branler du petit manège qui se jouait derrière moi. Caleb pouvait bien rester discuter base-ball avec ces catins, j'n'en avait strictement rien à secouer, je m'amusais bien à ma façon.  Mes mains se baladèrent une fois encore sur les hanches de Caitlyn que j'agrippais violemment et je laissais traîner mes lèvres humides sur les siennes. Je commençais à devenir fou, mon corps tout entier était entrain de brûler littéralement d'envie. Je me pinçais violemment la lèvre en empoignant son sein, maltraitant sa chaire sous mes doigts lorsqu'elle se dégagea de mon étreinte pour me pousser brûtalement contre le cloison à mon dos. Je souris légèrement, assouvi par l'initiative quand elle attrapa mon paquet de sa main ferme. « Putain... » balançais-je au vent dans un soupir satisfait. Sans plus attendre j'attrapais son cul que je plaquais contre moi, mes yeux vague tentant de rester capter à son regard de feu, mais elle s'amusa à glisser sa main dans mon Calvin Klein et empoigna le fruit interdit. Je lâchais un râle étouffé en basculant ma tête en arrière, je voulais tellement la baisé que s'en était douloureux. Elle commença ses vas et viens pressant en s'amusant de ma bouche immobile, entrouverte qu'elle martyrisait fougueusement. Nos souffles bruyant s'étaient à présent joint aux sons des vrombissement de voitures et des rires étouffés provenant de l'intérieur, je me contractais sous ses doigts experts, impuissant sous sa torture et esquissais une grimace de plaisir alors qu'elle passait une de ses mains dans mes cheveux. J'agrippais à pleine main le tissu qui recouvrais son cul l’écrasant avec force dans mon poing et attrapais sa bouche ardemment  dans un gémissement bruyant. Ses vas et vient s'activèrent de plus en plus, j'étais dur comme je l'avais rarement été. Ma queue me faisait un mal de chien Mes mains glissèrent sous le tissu de sa jupe, malaxant ses petites fesses sans retenue en je glissais mes doigts sous sa culotte que je déchirais sans état d'âme en mordillant violemment sa lèvre inférieur. Je retenais fermement sa cuisse contre ma taille alors que je me débarrassais du tissu que je jetais par dessus la rambarde, souriant légèrement contre ses lèvres et repassais ma main sous sa jupe pour la sentir sursauté sous mes doigts qui se glissaient lentement entre ses jambes. Je me raidis en constatant qu'elle mourrait d'envie que je la saute et dégageais sa main aussi sec de mon engin pour descendre mon jean prestement et attraper son autre jambe. J'étais devenu complètement fou. Je l'embrassais à pleine bouche et la retournais brutalement contre le crépis de cette appart' miteux. Mes muscles se contractèrent à l'unisson alors que je la portais fermement contre ce mur, je ne pouvais clairement plus attendre. Je me dégageais de ses lèvres, la respiration saccadé et guidais ma queue vers ses lèvres mouillés. Je relevais la tête, le visage fatigué et plaquais mes lèvres contre les siennes avant d'entrer enfin en elle sauvagement. Un éclair me transperçât le corps et j'ouvrais les yeux pour la voir céder au plaisir.  Ma mâchoire se crispa en la voyant ainsi se cambrer contre le mur  et je commençais à remuer des hanches au rythmes de nos souffles, logeant mon visage dans son cou brûlant que j'embrassais irrégulièrement.