Tu ne rates jamais une fête chez les omegas, parce que l'alcool coule toujours à flots, et que tu tombes toujours sur des belles personnes. L'endroit est blindé de monde, t'as passé la plupart de ton temps collé au fut de bière, à boire comme un trou sans fond et à te déhancher, ou plutôt te frotter contre le premier mec venu. Puis t'as suivi ce brun jusqu'à une chambre du bâtiment. Il t'attire contre toi, vos corps se collent tandis que tes lèvres se collent aux siennes. Tu ne sais plus trop d'où ce mec est sorti, ce Bailey tu ne l'avais jamais vu avant. Mais peu importe, ta nuit va se terminer dans un lit avec un inconnu et ça ne te dérange pas, au contraire. Tu ne te poses aucune limite de nombre en ce qui concerne tes relations sexuelles parce que t'es comme ça, tu ne peux t'empêcher de goûter aux plaisirs charnels. Il ne cesse de t'embrasser et toi, tu laisses tes doigts parcourir sa peau tandis qu'il retire presque tous tes vêtements. Tu te laisses tomber sur le lit et tu l'observes. Son torse est parfaitement dessiné, tu n'as qu'une envie c'est de goûter chaque recoin de sa peau avec tes lèvres. Il coince un préservatif entre ses lèvres et tu baisses les yeux sur ses doigts qui commencent à ouvrir sa braguette. Un sourire en coin, tu t'approches de lui pour l'aider à enlever son pantalon, t'es quand même en état de le déshabiller, à moins que monsieur ne veuille tout contrôler.

La chaleur t'envahit jusqu'au plus profond de ton être, cette douce chaleur emplie de désir que tu apprécies tant. Bailey t'offre une parfaite vision de comment tu imaginais la fin de ta nuit, ce qui te ravit au plus haut point. Tes lèvres ne cessent de chercher les siennes, tes doigts glissent sur son dos, parfois tes ongles s'enfoncent dans sa peau sous l'impulsion du désir. Tout monte d'un coup, tout va un peu trop vite, toi t'aimes prendre ton temps, jouer, te faire désirer. Mais le brun qui te sert de partenaire a l'air pressé car il descend en bas, jusqu'à ton intimité. Tu sens sa langue, juste là, ce qui t'arrache un gémissement. Tes doigts s'accrochent un instant dans ses cheveux bruns tandis que ton dos se cambre sous le plaisir. Tu le laisses terminer, même si au fond t'aurais voulu continuer. Tu te redresses de façon à lui faire face et tu viens capturer ses lèvres tout en laissant tes doigts glissés le long de son torse. Pendant un court instant, tu joues avec l'élastique de son caleçon, puis tu le baisses, laissant s'échapper sa partie la plus intime. D'une main experte tu caresses son entre jambe, tout en posant tes lèvres dans son coup, avant de remonter sur sa mâchoire.

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