Le pire coup de l'année. Oh non d'une vie entière. ∞ Charly

Le pire coup de l'année. Oh non d'une vie entière.
∞ Charly

Vous vous souvenez de l’épisode où j’ai dû embrasser deux gars dans les douches des hommes ? J’avais fini ce défi par un ‘‘on remet ça quand vous voulez’’ accompagné d’un clin d’œil qui voulait tout dire, mais je ne pensais pas que ça allait me rattraper si vite enfin on ne va pas dire que ça ne me plait pas.
La semaine suivant ces échanges de baisers, j’ai suivant passé mes soirées en boîtes ou bien à de simples soirées organisées par une des confréries ou par de simples élèves. Tout ce que je voulais c’était m’amuser et j’avais de nombreuses méthodes pour ça. La vie à Malibu me plaisait, mais je dois dire qu’ici c’était mille fois plus amusant –puis au passage les mecs étaient plus canon- ; je commençais à me plaire ici et je commençais à plaire aux gens. Pour en revenir à mes soirées, un soir, j’étais à une fête organisée par une confrérie de l’université avec des amies Gamma. Inutile de vous préciser que rare aller être les Gamma qui allait rentrer seule, entre les coups d’un soir, les petits copains et je ne sais quoi, mais une chose était sûre je ne comptais pas rester seule ce soir moi non plus. On est là pour s’amuser non ?
Un verre à la main et une clope dans l’autre, je parlais avec mes amies tout en cherchant les garçons les plus craquants de la soirée quand mon regard resta bloqué sur un gars au visage familier. Je n’arrivais pas à mettre un nom dessus ou à me rappeler comment je le connaissais –et j’étais certaine de ne pas avoir couché avec lui-. Je le fixais dans l’espoir de me souvenir de ce gars sexy. Je l’avais embrassé dans la semaine avec son pote qui, il me semblait, était gay. Je me souvins alors de ma phrase et de mon geste qui l’accompagné ; je comptais bien faire ce que j’avais sous-entendu. Ce soir. Et je savais pertinemment qu’il n’allait pas refuser ; voyons quel gars attiré par les filles refuserait une telle chose ?
Je le regardais. Il me regardait. Je lui souris avant de m’écarter de mon groupe d’amies dans l’espoir qu’il me suive.

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Code by Silver Lungs

Les fins de semaines équivalaient souvent aux soirées tardives, réunissant parfois plusieurs confréries qui, dans un partenariat particulier, s'offraient divers membres afin que ces derniers aient du plaisir ensemble, si vous voyez la vision. Si d'ordinaire, tu étais accompagné de Warren, tu ne l'étais plus depuis maintenant deux semaines et la présence de ton meilleur ami te manquait horriblement pourtant tu étais têtu, doté de cette fierté qui t'agaçait avec surprise. Tu pourrais en un clin d'oeil t'en débarrasser, appeler ton meilleur ami, t'excuser de tout et vous rabibocher en un rien de temps mais tu te doutais que ce serait pas ce soir que ceci se passerait. Dans ton coin, tu buvais ton verre tranquillement. Tu n'avais pas vraiment le moral, tu ruminais, pensant aux derniers évènements, avec ce qui s'était passé avec Karla et tout tes tracas quotidiens, peut-être devrais-tu changer et prendre des vacances dans un tout autre endroit ? Tu reluquais toutes les personnes à la soirées alors que tu croisas le regard d'une fille dont tu te rappelais le visage. Ouaip, elle t'avait choqué et elle t'avait sauvé la mise en autre. Il faut se souvenir de la scène des vestiaires avec un Karla qui tentait des choses sur toi et elle était intervenue, embrassant Karla et toi avant de repartir de plus belle, sur une fin mystérieuse où le couvert devait être remis sur une prochaine fois. Et si cette prochaine fois, c'était ce soir ? Voilà ta distraction, elle était arrivée et tu devais saisir l’occasion maintenant. Tu saisissais clairement le message qu'elle te transmettait, elle souhaitait une entrevue avec toi. Buvant ton verre cul sec, tu lui souris et tu étais prêt à la suivre. Tu la suivais, montais les escaliers, gardant toujours un oeil vers elle jusqu'à ce que vous arrivez dans une chambre, vide. Seul à seul. Un sourire en coin "J'aime les filles qui n'oublient jamais ce qu'elles disent" Elle t'occuperait pour ce soir-là, toi qui ruminait de ta solide. T'approchant d'elle, tu vins lui coller brutalement tes lèvres sur les siennes, resserrant la proximité que vous aviez. "On va pouvoir aller plus loin..." et délicatement, tu plongeais tes mains pour lui soutirer son tee-shirt et t'en débarrasser. Belle poitrine !